Une madeleine de Proust
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Bert I Gordon, surnommé BIG (ses initiales mais aussi parce qu'il a réalisé nombre de films mettant en présence des humains contre des créatures géantes) passe ici complètement à côté de son sujet et ne parvient qu'à provoquer l'ennui et l'attente impatiente de la fin de ce spectacle insipide. La présence d'Orson Welles ne suffit pas à sauver les meubles, celui-ci, cantonné dans un second rôle, apparaît 4 fois à l'écran (à mon avis une journée de tournage) et ne semble être venu que cacheter. Le scénario est basé sur de la sorcellerie campagnarde capable de faire ressusciter l'enfant du personnage principal. C'est nul, ennuyeux et convenu. Certaines scènes en extérieur sortent du marasme ambiant, le montage abrupt seventies est parfois rafraichissant mais trop de défauts plombent définitivement l'ensemble.
Créée
le 15 déc. 2016
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