Pour un jour de pluie ou d'ennui, disons que ce film laissait la promesse d'un moment agréable où, assis devant sa télé on allait se laisser aller à ne pas réfléchir, en sirotant son verre, tandis qu'on appréciait les courbes généreuse de Jessica Biel, les tâches de rousseur de Julianne Moore et la nouvelle coupe de Nicolas Cage.
Le concept est un peu déjà-vu mais bon... ça se regarde, dirons-nous. Et en effet, ça se regarde. Jusqu'à la fin. Pour tout dire, je l'ai même regardé deux fois parce que j'avais oublié l'avoir vu la première. Ce qui résume bien le sentiment que m'a laissé ce film à la fin : putain, je viens de perdre 2h de ma vie. 2 fois en plus (à cause de ma mémoire défectueuse). Parce que voilà, la fin n'est pas une fin.
Je crie à l'arnaque, parce que même si j'aime perdre mon temps devant de petites merdes, je n'aime pas me sentir arnaquée. Je crois que la première fois que je l'ai vu, mon cerveau s'est mis en mode "protection automatique". Oui, c'est un concept de mon cerveau quand, dans la vie, j'ai besoin pour mon bien être d'oublier les moments difficiles. Je les oublie. Vraiment.
Et bah je vous le dis moi, c'est vraiment un concept de merde, parce que je me suis fait arnaquée deux fois dans cette histoire, et que je le vis vraiment mal !!
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