Call of douteux

"Quand les meilleurs joueurs en réseau au monde reçoivent une mystérieuse invitation pour tester un nouveau jeu, ce n’est pas le manque de sommeil qu’ils doivent craindre… Un gros morceau de SF cyberpunk servi par les producteurs de « The Machine » !"

Vraiment ?

La SF cyberpunk, j'ai pas vu. Le gros morceau, en revanche…
Ça fait une demi-heure que je cherche mes mots, et j'ai de serieux doutes quant au fait de les trouver, alors désolé, mec halluciné, d'emprunter les tiens ; même si j'ai la nette impression que t'essayes de me vendre un sandwich au verre pilé.

Non, les jeux vidéos ne rendent pas violent - les films sur les jeux vidéos, c'est une autre histoire, et si certains parviennent malgré eux à faire rire, d'autres à l'image de ce "Call Up", peuvent pousser un gentil garçon dans mon genre à ...gnnn. GNNN !

Parce qu'inciter au meurtre, n'est ni chevaleresque ni très urbain, je te le demande avec bienveillance, Charles Barker. Ramasse tes billes, et sors immédiatement de ce game.

Quelques fientes en pagaille :

-Non. Que le pseudo de l'arabe du film soit "terrorist", ça n'est pas une grande idée.

-Qu'il soit le second après le black à mourir, ça n'est pas un clin d’œil, à quoi que ce soit.

-Ton film c'est de la merde : des incohérences dans tous les sens, c'est filmé avec le chibre, et c'est même pas distrayant.

-T'es méprisant, pas qu'à l'égard des jeux vidéos et des joueurs, mais pour tout ce qui n'est pas de l'argent. Et ce, paradoxalement, malgré la morale à la con de ton film de merde.

-Parce que oui, t'as pensé très cyniquement malgré le fait que tu vaux pas une cacahuète, qu'un film sur les jeux vidéos allait forcement trouver son public de crétins. Comme Uwe Boll.

-J'ai payé que dalle, j't'attends.