Réalisateur et acteur dans ce film, Guillaume Lambert veut désacraliser le deuil d'un cinquantenaire qui fait face à la mort de son père au côté de ses deux autres frères.
Dans un récit qui s'emmêle entre langue québécoise et l'anglais, Niagara reprend les codes typiques du cinéma québécois : des phares lentes à travers des discussions basiques, quotidiennes, à des esprits musicaux et un peu plus relevés.
Avec Niagara, c'est sûr que pour des personnes qui regardent les films québécois, on ne peut pas être très dépaysé.