Non ci resta che piangere par Sergeï Kolarov
Un grand classique des comédies italiennes des années 80. Il s'agit en quelque sorte des "Visiteurs" à l'italienne, où deux types sont envoyés non pas dans le futur mais dans le passé. Ce film a tellement fait ses preuves qu'il n'y a plus grand-chose à en dire en 2011. Disons simplement qu'on se pisse presque dessus du début jusqu'à environ la moitié du film, et qu'ensuite cela se calme au fur et à mesure, jusqu'à une fin très moyenne. Ruez-vous tout de même dessus, même si l'humour est très italien et que le film comporte un certain nombre de jeux de mots, toujours difficiles à traduire.