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Byrne in hell
Nos pires voisins est un concentré de tout ce que je déteste dans la comédie Américaine. Un genre devenu exécrable, primaire, malsain et sans inventivité depuis l'arrivée dans le milieu de Appatow et...
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Tous les lieux communs de la vie en Amérique nous sont servis:
- L'open-space: vous allez voir de l'employé en chemisette qui se cale un joint pendant les pauses...
ho non! le chef vient de nous surprendre pendant une soufflette.
Le couple de trentenaires bedonnants qui s'installe (dans la routine) dans une jolie maison dans une jolie banlieue avec une vraie complicité tellement fausse qu'elle en devient gênante.
ho et si on prenait des champis avec les voisins. Ca nous donnerait peut être envie de refaire l'amour pour la première fois depuis ta grossesse
sa vie universitaire de haute volée intellectuelle où les bouquins servent à caler une table de beer-pong bancale ou à sniffer de la coke. Où les meufs sont des potiches décérébrées qui veulent coucher avec des boloss de fraternité qui ont 5 mots de vocabulaire dont 3 synonymes du mot bite.
Il faut trouver de l'argent pour sauver la fraternité. Et si on faisait des moulages de nos bites et qu'on vendait des godes ?
C'est le niveau 0 de l'originalité. 90% des gags sont convenus et 10% sont attendus et 100% en dessous de la ceinture.
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Écrit par
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le 20 juin 2018
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