Les nuages sont beaux quand ils sont poussés et déformés par les vents. Celui que nous propose Sébastien Betbeder manque de vie faute de vents porteurs. Ces éléments moteurs auraient été trouvés dans une intrigue plus épaisse à l’image du brouillard qui jettera un voile opaque sur l’épilogue de ce long métrage.

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le 20 avr. 2018

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