L'actualité sur O marinheiro
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Les 5 premières minutes du film sont un pastiche inintéressant des ouvertures des films d'Ozu. D'aucuns diront "un hommage", les autres bailleront aux corneilles. Car si les plans d'Ozu révèlent une poétique de la confrontation entre le permanent et l'impermanence et dont la longueur des plans était mesurée et calculée avec minutie ; ici, les plans sont excessivement longs pour donner l'illusion que quelque chose se passe, il n'y a qu'un vide fadâsse et prétentieux. La suite est une lecture sur...
Le 14 juil. 2023
Un réalisateur qui imite un grand-maître japonais Ozu, qui fait lire par une comédienne un texte de Pessoa grand-maître de la poésie de l'âme ; aucun mérite si ce n'est celui de mettre en lumière l'œuvre d'autres artistes qui eux méritent bien mieux le coup d'oeil. Une escroquerie, comme l'art contemporain en est férue.
Le 14 juil. 2023
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