Once upon a time in Deadwood réalisé par l'inconnu René Perez (c'est le genre de réalisateur qui réussit à tourner plein de films plutôt nazes, je me demande comment ils font pour trouver les sous, sans doute qu'il doit y avoir une pirouette comptable pour faire passer les frais de ce genre de production) avec en bonus la présence de Robert Bronzi, le sosie de Charles Bronson.
Et la ressemblance est troublante, certes ce n'est qu'un succédané mais qui fait effet en plus le vrai Bronson n'avait pas forcément un jeu d'acteur très prononcé et ce sosie fait le minimum mais il dégage une certaine sympathie et il semble content de jouer dans un film.
Ce film peut vous rire tout comme il peut vous divertir. Le réalisateur ne lésine pas sur les fusillades...sauf que les méchants tirent sur le gentil en le ratant à tous les coups et que lui en visant légèrement les butent du premier coup.
On retrouve aussi Karin Brauns, une blonde sexy déjà vu dans un autre western du même réalisateur déjà avec la présence de Robert Bronzi. Ce n'est pas une grande comédienne mais elle fait tout de même un effort, et franchement j'ai vu des jeux d'acteurs plus médiocres dans ce type de productions. Michael Paré joue le chef des méchants, il kidnappe des filles qu'il va forcer à se prostituer.
Bon vous l'avez compris Once upon a time in Deadwood n'est pas du grand cinéma, c'est vraiment réservé aux personnes curieuses qui comme moi sont prêtes à voir parfois n'importe quoi...