Trancepotting
Adapté d’un roman d’Irvin Welsch à l’écriture du déjà bien barré Trainspotting, Jon S. Baird s’empare de ce récit pour livrer une œuvre complètement dingue, monstrueuse de sens et speed à souhait...
Par
le 9 févr. 2014
35 j'aime
3
Créée
le 26 nov. 2014
Critique lue 831 fois
9 j'aime
D'autres avis sur Ordure !
Adapté d’un roman d’Irvin Welsch à l’écriture du déjà bien barré Trainspotting, Jon S. Baird s’empare de ce récit pour livrer une œuvre complètement dingue, monstrueuse de sens et speed à souhait...
Par
le 9 févr. 2014
35 j'aime
3
Franchement, le film est déjà sorti partout ailleurs et nous, pauvres français, sommes obligés de passer par la case "piratage" pour pouvoir regarder ce long-métrage. Pourquoi ? A mon avis, le film...
Par
le 26 févr. 2014
17 j'aime
Ordure est aussi agréable qu'un type intelligent qui vous crie dans l'oreille au milieu d'une boite de nuit. Ce n'est pas tant qu'il n'ait rien à dire (il y a même quelques séquences efficaces dans...
le 9 déc. 2014
16 j'aime
Du même critique
Conversation téléphonique longue distance Seattle-New-York, une nuit chaude et électrique du mois de mai, entre un maître dominateur et son élève : Maître, Anastasia est partie... La pute...
Par
le 15 févr. 2015
279 j'aime
25
- Tu t'appelles comment? - Je sais pas. - Lui c'est truc, lui c'est bidule. Eux ce sont des "runners", eux des paysans, eux des constructeurs. Comment t'as dis que tu t'appelais déjà? - Je sais...
Par
le 13 oct. 2014
250 j'aime
54
Qu'il soit gentleman ou pilier de comptoir, on interrompt jamais un homme qui boit une Guinness. Ça ne se fait pas, tout simplement. Manners Maketh Man. D'ailleurs on ne boit pas une Guinness, on la...
Par
le 18 févr. 2015
207 j'aime
8