L'actualité sur Orgesticulanismus
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2008 • Court-métrage de Mathieu Labaye
Synopsis : C’est qu’« Orgesticulanismus », au bord d’un cinéma expérimental, est un film qui cherche, se libère, énergique, frénétique, jubilatoire, tellement vivant. Très ambitieux techniquement, il s’organise en dehors des genres codifiés du court métrage, sans scénographie étouffante ou conventions dramaturgiques attendues. D’une étonnante richesse formelle, tant par son travail autour du dessin que par ses articulations à la bande sonore et à la musique, « Orgesticulanismus » est d’une grande inventivité et se construit en trois temps sur une idée assez simple.
2008 • Court-métrage de Mathieu Labaye
Synopsis : C’est qu’« Orgesticulanismus », au bord d’un cinéma expérimental, est un film qui cherche, se libère, énergique, frénétique, jubilatoire, tellement vivant. Très ambitieux techniquement, il s’organise en dehors des genres codifiés du court métrage, sans scénographie étouffante ou conventions dramaturgiques attendues. D’une étonnante richesse formelle, tant par son travail autour du dessin que par ses articulations à la bande sonore et à la musique, « Orgesticulanismus » est d’une grande inventivité et se construit en trois temps sur une idée assez simple.
2008 • Court-métrage de Mathieu Labaye
Synopsis : C’est qu’« Orgesticulanismus », au bord d’un cinéma expérimental, est un film qui cherche, se libère, énergique, frénétique, jubilatoire, tellement vivant. Très ambitieux techniquement, il s’organise en dehors des genres codifiés du court métrage, sans scénographie étouffante ou conventions dramaturgiques attendues. D’une étonnante richesse formelle, tant par son travail autour du dessin que par ses articulations à la bande sonore et à la musique, « Orgesticulanismus » est d’une grande inventivité et se construit en trois temps sur une idée assez simple.
2008 • Court-métrage de Mathieu Labaye
Synopsis : C’est qu’« Orgesticulanismus », au bord d’un cinéma expérimental, est un film qui cherche, se libère, énergique, frénétique, jubilatoire, tellement vivant. Très ambitieux techniquement, il s’organise en dehors des genres codifiés du court métrage, sans scénographie étouffante ou conventions dramaturgiques attendues. D’une étonnante richesse formelle, tant par son travail autour du dessin que par ses articulations à la bande sonore et à la musique, « Orgesticulanismus » est d’une grande inventivité et se construit en trois temps sur une idée assez simple.
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Synopsis : C’est qu’« Orgesticulanismus », au bord d’un cinéma expérimental, est un film qui cherche, se libère, énergique, frénétique, jubilatoire, tellement vivant. Très ambitieux techniquement, il s’organise en dehors des genres codifiés du court métrage, sans scénographie étouffante ou conventions dramaturgiques attendues. D’une étonnante richesse formelle, tant par son travail autour du dessin que par ses articulations à la bande sonore et à la musique, « Orgesticulanismus » est d’une grande inventivité et se construit en trois temps sur une idée assez simple.
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Synopsis : C’est qu’« Orgesticulanismus », au bord d’un cinéma expérimental, est un film qui cherche, se libère, énergique, frénétique, jubilatoire, tellement vivant. Très ambitieux techniquement, il s’organise en dehors des genres codifiés du court métrage, sans scénographie étouffante ou conventions dramaturgiques attendues. D’une étonnante richesse formelle, tant par son travail autour du dessin que par ses articulations à la bande sonore et à la musique, « Orgesticulanismus » est d’une grande inventivité et se construit en trois temps sur une idée assez simple.
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Synopsis : C’est qu’« Orgesticulanismus », au bord d’un cinéma expérimental, est un film qui cherche, se libère, énergique, frénétique, jubilatoire, tellement vivant. Très ambitieux techniquement, il s’organise en dehors des genres codifiés du court métrage, sans scénographie étouffante ou conventions dramaturgiques attendues. D’une étonnante richesse formelle, tant par son travail autour du dessin que par ses articulations à la bande sonore et à la musique, « Orgesticulanismus » est d’une grande inventivité et se construit en trois temps sur une idée assez simple.
2008 • Court-métrage de Mathieu Labaye
Synopsis : C’est qu’« Orgesticulanismus », au bord d’un cinéma expérimental, est un film qui cherche, se libère, énergique, frénétique, jubilatoire, tellement vivant. Très ambitieux techniquement, il s’organise en dehors des genres codifiés du court métrage, sans scénographie étouffante ou conventions dramaturgiques attendues. D’une étonnante richesse formelle, tant par son travail autour du dessin que par ses articulations à la bande sonore et à la musique, « Orgesticulanismus » est d’une grande inventivité et se construit en trois temps sur une idée assez simple.
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2008 • Court-métrage de Mathieu Labaye
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a recommandé le film
, lui a attribué 10/10 et l'a ajouté à sa liste
2008 • Court-métrage de Mathieu Labaye
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