7
Bonheur triste
Je suis Lucas Belvaux depuis un bon moment et j'apprécie sa fibre humaniste, son regard aiguisé sur la société et sa manière d'en tirer partie. En apprenant qu'il allait nous réaliser une "comédie...
Par
le 12 juin 2014
47 j'aime
10
Le site est de retour en ligne. Cependant, nous effectuons encore des tests et il est possible que le site soit instable durant les prochaines heures. 🙏
Une histoire d'amour avec un A
Mais qui est donc Emilie Dequenne ? , quel sensualité, elle vous embarque dans son histoire d'amour et vous y croyez, elle vous rappel les premieres emotions d'une rencontre, on rit avec elle, on pleure aussi, on veut une Happy end, s'est romantique à souhait ....
8
Écrit par
Cet utilisateur l'a également mis dans ses coups de cœur.
Créée
le 10 mai 2015
Critique lue 221 fois
D'autres avis sur Pas son genre
9
Le philosophe dans le salon
On n’attendait pas le belge Lucas Belvaux, artiste engagé réalisateur de films âpres ancrés dans la réalité sociale, dans une comédie romantique, comme un ‘feel good movie ‘ entre un professeur de...
le 1 mai 2014
44 j'aime
5
7
La Tristesse vient de la Solitude du Coeur!
Lucas Belvaux,réalisateur belge chevronné et engagé,est connu pour sa dénonciation farouche des inégalités sociales et sa propension à contester l'ordre établi.Ses chroniques dépeignent souvent des...
le 4 mai 2014
31 j'aime
14
Du même critique
8
Une histoire d'amour avec un A
Mais qui est donc Emilie Dequenne ? , quel sensualité, elle vous embarque dans son histoire d'amour et vous y croyez, elle vous rappel les premieres emotions d'une rencontre, on rit avec elle, on...
Par
le 10 mai 2015
9
S'est bien
Alors pour ceux qui n'ont pas vue Saw comme moi, je trouve l'intrigue bien ficeller, on ne parle pas d'une violence bruyante ou gore, s'est une intrigue psychologique .
Par
le 29 oct. 2014
10
Une oeuvre intemporel
Lorsque ma lecture a commencer, je dois bien admettre avoir relue les 10 premiere pages pour etre certaine de bien comprendre et m'impregner de cette epoque si romanesque. J'ai adoré le language...
Par
le 29 oct. 2014
