Perfect Blue
7.8
Perfect Blue

Long-métrage d'animation de Satoshi Kon (1997)

Quand on décide de se changer, dans n'importe quel domaine, il y auras toujours quelques pars des personnes contre ta volonté, des personnes qui pensent que ta vie n'est pas ta propriété.
les vecteurs de la destruction psychologique d'une personne sont très nombreux. Lorsque que nous sommes attaquer, comme tous être vivant, un programme de défense est activé, le dard chez les abeilles, la morsure chez le serpent, Chez les hommes c'est la parano. Des anonymes deviennent menaçant, l'énnemis est invisible, à qui faire confiance ? Et vous vous refermez socialement, vous vous protéger, vous ne préférez plus existez. Mais même seul, vous pouvez malheureusement toujours trouver votre ennemis. Un admirable thriller psychologique, qui permet de rendre compte que les gens ne sont pas des objets que l'on peut utiliser à notre guise. Les individus font des choix, respectons les. la destruction psychologique amène à la folie, et la folie n'a pas de limite.
Ce film d'animation peut être qualifié, dans la lignée de George Orwell, ou même très probablement Black Mirror, d' une oeuvre d'anticipation, même si le problème dénoncée dans ce film était existant il y a 20 ans, il est très actuelle. beaucoup trop actuelle, il permet de voir la face caché, le dessous du iceberg de l'horreur de ce que peut être la célébrité.
une autre réalité s’impose à notre héroïne à travers une forme de schizophrénie, piégée entre deux réalités, lorsque cette folie, laisse place par la prise d'une place importante aux hallucination, jusqu’à se perdre entre réalité et fiction, la bataille contre sois-même à cause d'autrui est toujours difficile a mené.

shivato
10
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le 27 juin 2019

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