La fin a un début
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le 13 mars 2013
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Si l’envie me prenait de réinvestir les films précédents, il me suffirait s’insérer chaque disque dans mon lecteur. Je n’ai pas besoin de fac simile de bande-annonce tous les quarts d’heure proposant le best of des épisodes antérieurs. Cette démarche dessert énormément un quatrième opus qui dispose pourtant de quelques bonnes idées, à commencer par le postulat visant à remonter aux origines de notre Tall Man favori. Force est de constater que le concept reste trop souvent à son état théorique sans que le film n’en fasse quelque chose d’un tant soit peu intéressant : les sauts temporels et spatiaux s’avèrent mal gérés et peu crédibles, les motivations de chacun des protagonistes floues. La réalisation ne livre rien de mémorable à l’exception peut-être d’un croque-mort dans le désert, opérant un jeu de contrastes picturaux superbe. Les acteurs demeurent très moyens, à commencer par Reggie toujours aussi bête et pénible à suivre. Si Phantasm IV s’amuse avec son univers que Don Coscarelli semble heureux de retrouver, le spectateur, lui, commence à trouver le temps long.
Créée
le 20 déc. 2018
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