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Douloureux
Rare sont les films qui laissent une impression aussi forte. Je suis resté assis un long moment après la fin du générique, incapable de m'abstraire de cette histoire douloureuse dont les images me...
Par
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Epistémologie d'un schizophrène
Bof bof. Très jolie utilisation du motif du cycle et très bon jeu d'acteur, mais ces thèmes, la spiritualité, l'écriture du monde par la science, construite ou donnée, la folie, thèmes qui d'habitude me passionnent et que j'aime retrouver dans une oeuvre, ne m'ont pas touchée ici. J'ai beaucoup aimé le symbolisme et les questions liées à Dieu, mais les conflits d'intérêts des différents acteurs (Wall Street, ce groupuscule juif) sont traités avec trop peu de finesse, et on se perd dans les considérations vaguement philosophiques que Aronofsky cherche à retranscrire par sa mise en scène ; comme s'il ne savait jamais quel thème choisir entre la folie du personnage principal et le rapport des Hommes à Dieu, supposément accompli par le nombre d'or, qui ici se transforme en pi... un peu comme ce personnage - qui lui fait tout de même son choix entre les 2. Bref, une déception ; un film qui m'a ennuyé, et qui aurait pu être passionnant, mais j'y suis restée tout bonnement "hermétique intellectuellement", pour reprendre l'expression d'une autre critique... alors que ces thèmes me passionnent. Il faut quand même le faire!
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Créée
le 12 juin 2020
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