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Miroir dérangeant.
Oliver Stone arrive après la bataille : il le sait et décide d’en faire sa force. La première image de Platoon voit se croiser les nouvelles recrues et les sacs à cadavres : l’initiation sera de...
le 13 sept. 2014
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Ceci n'est pas un flim sur le philosophe
De retour du Vietnam, le jeune soldat Stone avait envie de faire passer un témoignage sur ce conflit qui l'a profondément marqué. Marqué à tel point d'en faire plusieurs films. Le premier étant Platoon, un film avec un regard très dépressif sur la guerre.
La jeune recrue Taylor incarné par un Charlie Sheen diablement efficace est le miroir servant à Stone pour se représenter dans cette guerre. En effet, le film accumule les symboles avec cette guerre intérieure représentée par les deux sergents (campés avec brio par Willem Dafoe et Tom Berenger).
Choquant, le film montre des aspects de la guerre dérangeants pour la population américaine, le film nous montre des soldats fatigués, brutaux, violents.
Je ne sais pas si l'on peut parler vraiment de film de guerre, tant les batailles ne sont pas le coeur du film. A mon sens il s'agit plus d'un drame dans un contexte de guerre. Rien que le thème musicale du film me conforte dans ma vision.
Au final, nous avons là un film beau et pessimiste, avec un "héros" (parlons plutôt ici d'anti-héros) enfermé dans la folie de la guerre.
La jeune recrue Taylor incarné par un Charlie Sheen diablement efficace est le miroir servant à Stone pour se représenter dans cette guerre. En effet, le film accumule les symboles avec cette guerre intérieure représentée par les deux sergents (campés avec brio par Willem Dafoe et Tom Berenger).
Choquant, le film montre des aspects de la guerre dérangeants pour la population américaine, le film nous montre des soldats fatigués, brutaux, violents.
Je ne sais pas si l'on peut parler vraiment de film de guerre, tant les batailles ne sont pas le coeur du film. A mon sens il s'agit plus d'un drame dans un contexte de guerre. Rien que le thème musicale du film me conforte dans ma vision.
Au final, nous avons là un film beau et pessimiste, avec un "héros" (parlons plutôt ici d'anti-héros) enfermé dans la folie de la guerre.
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le 11 déc. 2010
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