Néons, sexe et concept
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J’ai découvert après vision que le film avait été récompensé par le prix du meilleur long métrage au Festival underground suisse.
L’eussé-je su…
Non, parce qu’au début, je trouvais ça intéressant, l’ambiance, le mystère.
Ensuite, j’ai commencé assez vite à flairer le truc du film à la Mullholand ou Eyes Wide Shut, que tout le monde te dit que c’est génial alors que c’est juste incompréhensible et caché derrière de l’esthétique.
Et paf, c’est tout à fait ça !
Un goulbiboulga n’importe quoi ésotérico-mytico-psycho-philosophico barré où tu mets n’importe quoi en te disant que les gens trouveront forcément ça génial puisqu’on ne capte rien du tout – ou alors, on rétorquera à des gens comme moi avec un petit air dédaigneux que je n’ai rien compris parce que je ne suis pas prêt et trop bête.
Ben quand même, au final, c’est joli mais ça n’a absolument aucun sens.
Créée
le 21 juil. 2024
Critique lue 10 fois
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