L'inexis-temps
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Ma Primer perception de ce film est similaire à une partie de la critique de monsieur Drélium : Austère, pompeux et inintéressant, surtout quand on comprend que chaque scènes éclaircissant le sujet est coupée afin de complexifié sont apparente complexité. Le paradoxe de l'œuf et la poule me semble bien plus profond (Et infiniment plus cocasse).
Primer est une avalanche d'esbroufes techniques, Bali et Balo placent par exemple le célébrissime diagramme de Feynman durant les premières phases de test de leur machine. À ce stade liminaire de leur conversation un scientifique est probablement renvoyé à la théorie quantique des champs, soit un cadre théorique pour la construction de modèles quantique de systèmes que l'on décrirait classiquement par un nombre très grand ou infini de degrés de liberté, à savoir les champs et systèmes à grand nombre de corps. (T’es trop le plus malin monsieur Wiki, c’est peut-être à cause de ce machin que découle l’idée original de leur truc)
Primer est une idée novatrice sur un sujet théorique éculé, sans sont traitement abusivement merdique j’aurais pu adorer.
Voici la théorie perso à moi que j’ai sur Primer : Bali et balo inventent une machine à remonter le temps, il explorent les vieux domaines connu aborder par les grands films du genre, on parle de timelines et d’effet papillon (Les vilains doubles avec lequel il ne faut absolument pas entrer en contact au cas ou on créerait une effroyable fissure du continuum espace temps, ils connaissent ça sur le bout des lèvres dans star trik).
Bali et Balo font comme les insaisissables du terrier, ils nous balancent de la poudre aux yeux et sortent un lapin blanc de leurs rondelles rosatres. On a d’abord droit aux timelines classiques si ce n’est que leurs formes ont étés complexiqués. On commence à ce dire que Balot (Le blond), est le héros de l’histoire (Le plus malin en somme quantique) mais soudainement bali (Le brun) réalise que sa machine à remonter le temps est une encre lui permettant de suivre plusieurs lignes temporelle sans ce dédoubler jusqu'à l'infini (voir au-delà) et compose sa théorie jamais utilisé au cinoche (la fameuse idée originale de ce navet intemporel), il décide de rompre l’équation afin de créer un double autonome de lui-même, sont double peu ainsi continuer à faire mumuse avec ballo tendis qu’il s’éclate comme un Dieu dans son coin venu du futur de notre passé. Le paradoxe abordé dans Primer n’est ainsi plus figé dans le temps mais investit également l’espace...Un double paradoxe ou super-pardoxe, ou paradoxe entremélé. Une bonne grosse idée originale bien casse tête. De quoi devenir complètement zinzin.
Malheureusement c'est aussi ennuyeux qu'une course d'escargot de cinq bornes. Terminator, retour vers le futur, en fait n’importe quel film moins original sur le sujet est indescriptiblement plus intéressant (Sauf évidement la machine à explorer le temps, de Simon Wells, et Time Warriors : La révolte des mutants, de on s'en fou...)
Créée
le 15 sept. 2013
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5 j'aime
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