Après avoir donné dans le film de zombie, Yeon Sanh-ho aborde un autre genre qui aura particulièrement marqué le cinéma de ce début de millénaire : le film de super-héros. Là encore, il peine à renouveler la formule malgré une approche légère (la tension du Dernier train pour Busan laisse place à un humour teinté de mélancolie) mais tout aussi engagée qui force la sympathie. Loin d'égaler le maître Boon Jong-ho, Psychokinesis reste une bonne petite péloche (si tant est que cette expression fasse encore sens à l'heure du numérique et de Netflix...) qui devrait ravir les amateurs ou du moins leur faire changer un peu d'air...
Ma critique à lire sur le Super Marie Blog : https://supermarieblog.com/2018/05/12/psychokinesis/