Et pourquoi pas un 9/10 ou bien un 10/10 ? C’est très simple. Le film reste dans le genre humoristique. Ont y voit des situations burlesques (exemple : les deux gangsters habillés avec fringues du dimanche). Et pour moi, l’humour, aussi bienfaisant et bien réalisé sois-t-il, ne touche pas autant que les émotions négatives. La tristesse d’une séparation, d’une relation relation complexe ou même la mort d’un être proche sera plus impactant que blague bien mise en scène.

Cela étant dit, pulp fiction reste un grand film. Et pour cause, il y a de très nombreuses choses :

La différence : dans la plus part des films de gangsters, les brigands sont représentés comme des personnes forte et dur, sans humanité. Les acteurs sont filmés vue du bas, des trait de visage fermé, dépourvue de tout sens moral et près à tuer sans hésitation. Ils sont souvent protégé par l’immunité scénaristique jusqu’à la fin du film ( en général sois il meurt sois il tue sont rival )
Pulp fiction reprend les codes de gangsters mais humanise beaucoup ces derniers. Ils conserve cette capacité à buter quelqu’un sans problème tout parlant du nom d’un burger qui change celon les pays. Cette différence mis en œuvre par dialogue qui perso me régale donne une réel différence, cela nous rappel que derrière la gâchette il y un cœur qui bat. Et tout ceci est de plus en plus flagrant tout au long du film. Jusqu’à l’apogée ou le cœur rattrape le flingue et Samuel L Jackson se range pour de bon. Les plans appuies nettement se fait. La scène de la chambre où il but les mecs avec une facilité déconcertante est prise avec un plan vue du bas sur les deux compagnons. A la toute fin dans le bar, Samuel est montré vue du haut, ce qui donne l’impression d’être plus petit moins fort, plus humain. Tandis que john Travolta est toujours montré légèrement vue du bas. Lui il ne sait pas rangé, il est toujours montré comme un gangsters et ont peut penser que sa mort (qui arrive après dans l’ordre chronologique) est un drôle de coup de sort. Mais perso je pense pas car justement il ne sait pas rangé…

Scénario: je parlais juste avant de l’immunité scenaristique. Et bien pulp fiction attribue à ces personnages l’inverse. La mort de Vincent Vega au milieu du film nous montre que tout le monde est vulnérable, personne ne peut être épargné. Mais pourquoi buter l’un des personnage principal au milieu du film ? Et bien cela rend les choses beaucoup plus attraillant. Tout le reste du film nous allons vouloir savoir comment il s’est retrouvé dans les toilettes de buch.
Découper l’histoire en plusieurs partie rajoute beaucoup de suspens. Et le spectateur veut toujours en savoir, suspense d’autant plus fort car les enchaînements d’événements vont être de pire en pire graduellement. Donc tout le monde s’attend à une scène final extraordinaire. De plus, ont est servir jusqu’au bout ! Car ont découvre que les deux gangsters le même que le couple du début. Tout est en place pour un massacre à la Tarantino (comme dans la fin de Django par exemple) mais il n’en est rien. Puisque ce qui a aussi grandit graduellement pendant le film c’est l’humanité de mister L Jackson qui met clairement un stop à Vincent qui lui, était près à tirer. Mais non, au final c’est un magnifique plan sur les deux comparses qui cache leurs flingues sous leurs fringues du dimanche, comme pour montrer que l’humanité viens de triompher.

Créée

le 22 avr. 2024

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