Brisseau continue son exploration de ses fantasmes sur les femmes et ça devient insupportable, très vite une jeune femme raconte qu'elle collectionne les amants sexagénaires et qu'elle aime baiser avec des inconnus au bois de Vincennes, puis c'est au tour d'une femme plus âgée de raconter qu'elle a commencé la prostitution à 14 ans... C'est triste pour ce cinéaste de finir sa carrière avec son plus mauvais film.

dvabre
2
Écrit par

Créée

le 24 oct. 2020

Critique lue 221 fois

dvabre

Écrit par

Critique lue 221 fois

D'autres avis sur Que le diable nous emporte

Que le diable nous emporte
dvabre
2

Triste fin de carrière

Brisseau continue son exploration de ses fantasmes sur les femmes et ça devient insupportable, très vite une jeune femme raconte qu'elle collectionne les amants sexagénaires et qu'elle aime baiser...

le 24 oct. 2020

Que le diable nous emporte
Faust-In
2

Pompeuserie

Encore un film sur le désir féminin... vu par un homme et ses fantasmes clichés. Un jeu catastrophique qui pose cette question : laquelle des trois actrices joue le moins bien ? Pas facile. On est...

le 14 janv. 2018

Que le diable nous emporte
YasujiroRilke
4

Critique de Que le diable nous emporte par Yasujirô Rilke

Brisseau tourne encore. Dans des moyens aussi chiches que Vecchiali, il prolonge coûte que coûte la mise en scène de ses fantasmes. Rohmerien renversé, sa morale n'a pour guide que le désir sans...

le 31 janv. 2018

Du même critique

Dune
dvabre
3

Morne plaine

Esprit de sérieux et froideur extrême habituels de Villeneuve, Dune ne fait vraiment pas dans la dentelle... Une exposition longue et didactique, le souffle épique reste timide et la rencontre avec...

le 19 sept. 2021

6 j'aime

2

Les Choses qu’on dit, les choses qu’on fait
dvabre
4

Critique de Les Choses qu’on dit, les choses qu’on fait par dvabre

Une spirale d'histoires d'amour avec des acteurs guindés récitant des dialogues maniérés sous des flots de musique classique, Mouret tel un savant devenu fou après un succès public (Mademoiselle de...

le 16 sept. 2020

5 j'aime

Le Bonheur des uns...
dvabre
1

Quatre amis et un navet

Rarement vu une intrigue de comédie évoluer aussi peu avec un rythme, des situations et des dialogues d'une platitude étonnante, 1h30 de jalousie mesquine dans le dos avec le personnage insupportable...

le 9 sept. 2020

5 j'aime

4