Décidément, on arrête plus la saga Resident Evil qui nous offre un quatrième volet cette fois-ci intitulé Afterlife et qui marque le retour de Paul WS Anderson derrière la caméra, lui qui avait réalisé le tout premier volet.
Bon, clairement, on entre dans du pur film à effets spéciaux qui ne demande aucune réflexion particulière pour comprendre et qui offre un pur moment d'images fortes.
Paul WS Anderson a délaisser le côté survie pour se consacrer uniquement sur le côté spectaculaire de son film avec notamment la présence de Slow Motion, néanmoins très maîtrisé, et c'est ce qui explique que ce film est moins bon que les trois précédents.
Certes, on est pris dans le tourbillon d'images spectaculaires qui se succèdent devant nos yeux mais on aurait aimer connaître la suite des manipulations d'Umbrella plutôt que de voir Alice tenter de la détruire définitivement.
Un film donc, inégal, notamment à cause de ses manques de prestance au niveau scénaristique mais un film divertissant à souhait quand même.