Récit biaisé pour une morale mille fois contée
On sent le pari convenu d'un projet qui voualit aborder ce drame avec un angle inédit et important.
Seulement comme on ne fait pas un film réaliste sur 39-45 sans évoquer/pointer les nazis, le choix d'invisibilisation de Winocour rend un goût d'obscène plus qu'une prise de recul.
D'autant que le film va se concentrer sur des sujets déjà traité (dans d'autres films dédiés) et font passer le contexte tragique comme un décor.
On ose pas penser à une éventuelle récupération de l'attentat pour appuyer ses propres combats.
[!] Pas de scènes post-crédits [!]