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Richard III

2016 • Spectacle de Thomas Jolly et Julien Condemine

Synopsis : Richard III est une conclusion. Le quatrième et dernier volet d’un cycle d’horreur et de barbarie. L’ultime progression d’une inexorable marche du mal avant le rétablissement de la paix. Il ne s’agit pas seulement du magnétique et fascinant personnage : c’est davantage la peinture d’une société meurtrie et dévastée, propice à l’éclosion d’un monstre dont il est question. A bien des égards, conclure la trilogie Henry VI par ce dernier sursaut de noire politique me semble urgent. Car voici qu’une quatrième génération poursuit les conflits amorcés par leurs aïeux. Une génération désolée d’enfants nés dans la guerre, sans autre repère que le sang et d’autre logique que la violence, élevés pour combattre, venger et tuer. Si Richard peut évoluer avec tant d’aisance à la cour et que ses plans se concrétisent avec une facilité déconcertante, c’est certes par sophistication stratégique mais aussi par une complète absence de règles et un climat d’angoisse permanent dans lequel évoluent tous les personnages. Reconsidérer Richard III dans la continuité d’Henry VI permet d’accéder à la lecture que fait Shakespeare de l’Histoire. Depuis le début d’Henry VI, Shakespeare traduit le resserrement de la notion de conflit : d’abord à l’échelle de deux royaumes (guerre de Cent Ans), le conflit se resserre sur l’Angleterre dans l’opposition de deux familles rivales (guerre des Deux-Roses), puis il glisse au sein de la fratrie York pour finir, à l’acte V de Richard III, par opérer dans le corps même d’un seul personnage en proie à lui-même. Proposer Richard III à la suite des tragédies d’Henry VI fait apparaître cette dramaturgie, perçue dès le début du travail en 2010 et traduite par la mise en scène qui suit une lente courbe descendante. Ce resserrement s’opère tandis que le temps suit sa course… Thomas Jolly. Avril 2015.

Shuia

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WolfD

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Petite Fée

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et lui a attribué 10/10

Richard III

2016 • Spectacle de Thomas Jolly et Julien Condemine

Synopsis : Richard III est une conclusion. Le quatrième et dernier volet d’un cycle d’horreur et de barbarie. L’ultime progression d’une inexorable marche du mal avant le rétablissement de la paix. Il ne s’agit pas seulement du magnétique et fascinant personnage : c’est davantage la peinture d’une société meurtrie et dévastée, propice à l’éclosion d’un monstre dont il est question. A bien des égards, conclure la trilogie Henry VI par ce dernier sursaut de noire politique me semble urgent. Car voici qu’une quatrième génération poursuit les conflits amorcés par leurs aïeux. Une génération désolée d’enfants nés dans la guerre, sans autre repère que le sang et d’autre logique que la violence, élevés pour combattre, venger et tuer. Si Richard peut évoluer avec tant d’aisance à la cour et que ses plans se concrétisent avec une facilité déconcertante, c’est certes par sophistication stratégique mais aussi par une complète absence de règles et un climat d’angoisse permanent dans lequel évoluent tous les personnages. Reconsidérer Richard III dans la continuité d’Henry VI permet d’accéder à la lecture que fait Shakespeare de l’Histoire. Depuis le début d’Henry VI, Shakespeare traduit le resserrement de la notion de conflit : d’abord à l’échelle de deux royaumes (guerre de Cent Ans), le conflit se resserre sur l’Angleterre dans l’opposition de deux familles rivales (guerre des Deux-Roses), puis il glisse au sein de la fratrie York pour finir, à l’acte V de Richard III, par opérer dans le corps même d’un seul personnage en proie à lui-même. Proposer Richard III à la suite des tragédies d’Henry VI fait apparaître cette dramaturgie, perçue dès le début du travail en 2010 et traduite par la mise en scène qui suit une lente courbe descendante. Ce resserrement s’opère tandis que le temps suit sa course… Thomas Jolly. Avril 2015.

cyrusastra

a attribué 7/10 au film

Richard III

2016 • Spectacle de Thomas Jolly et Julien Condemine

Synopsis : Richard III est une conclusion. Le quatrième et dernier volet d’un cycle d’horreur et de barbarie. L’ultime progression d’une inexorable marche du mal avant le rétablissement de la paix. Il ne s’agit pas seulement du magnétique et fascinant personnage : c’est davantage la peinture d’une société meurtrie et dévastée, propice à l’éclosion d’un monstre dont il est question. A bien des égards, conclure la trilogie Henry VI par ce dernier sursaut de noire politique me semble urgent. Car voici qu’une quatrième génération poursuit les conflits amorcés par leurs aïeux. Une génération désolée d’enfants nés dans la guerre, sans autre repère que le sang et d’autre logique que la violence, élevés pour combattre, venger et tuer. Si Richard peut évoluer avec tant d’aisance à la cour et que ses plans se concrétisent avec une facilité déconcertante, c’est certes par sophistication stratégique mais aussi par une complète absence de règles et un climat d’angoisse permanent dans lequel évoluent tous les personnages. Reconsidérer Richard III dans la continuité d’Henry VI permet d’accéder à la lecture que fait Shakespeare de l’Histoire. Depuis le début d’Henry VI, Shakespeare traduit le resserrement de la notion de conflit : d’abord à l’échelle de deux royaumes (guerre de Cent Ans), le conflit se resserre sur l’Angleterre dans l’opposition de deux familles rivales (guerre des Deux-Roses), puis il glisse au sein de la fratrie York pour finir, à l’acte V de Richard III, par opérer dans le corps même d’un seul personnage en proie à lui-même. Proposer Richard III à la suite des tragédies d’Henry VI fait apparaître cette dramaturgie, perçue dès le début du travail en 2010 et traduite par la mise en scène qui suit une lente courbe descendante. Ce resserrement s’opère tandis que le temps suit sa course… Thomas Jolly. Avril 2015.

Huchette

a attribué 10/10 au film

Richard III

2016 • Spectacle de Thomas Jolly et Julien Condemine

Synopsis : Richard III est une conclusion. Le quatrième et dernier volet d’un cycle d’horreur et de barbarie. L’ultime progression d’une inexorable marche du mal avant le rétablissement de la paix. Il ne s’agit pas seulement du magnétique et fascinant personnage : c’est davantage la peinture d’une société meurtrie et dévastée, propice à l’éclosion d’un monstre dont il est question. A bien des égards, conclure la trilogie Henry VI par ce dernier sursaut de noire politique me semble urgent. Car voici qu’une quatrième génération poursuit les conflits amorcés par leurs aïeux. Une génération désolée d’enfants nés dans la guerre, sans autre repère que le sang et d’autre logique que la violence, élevés pour combattre, venger et tuer. Si Richard peut évoluer avec tant d’aisance à la cour et que ses plans se concrétisent avec une facilité déconcertante, c’est certes par sophistication stratégique mais aussi par une complète absence de règles et un climat d’angoisse permanent dans lequel évoluent tous les personnages. Reconsidérer Richard III dans la continuité d’Henry VI permet d’accéder à la lecture que fait Shakespeare de l’Histoire. Depuis le début d’Henry VI, Shakespeare traduit le resserrement de la notion de conflit : d’abord à l’échelle de deux royaumes (guerre de Cent Ans), le conflit se resserre sur l’Angleterre dans l’opposition de deux familles rivales (guerre des Deux-Roses), puis il glisse au sein de la fratrie York pour finir, à l’acte V de Richard III, par opérer dans le corps même d’un seul personnage en proie à lui-même. Proposer Richard III à la suite des tragédies d’Henry VI fait apparaître cette dramaturgie, perçue dès le début du travail en 2010 et traduite par la mise en scène qui suit une lente courbe descendante. Ce resserrement s’opère tandis que le temps suit sa course… Thomas Jolly. Avril 2015.

umnni

a recommandé le film

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Richard III

2016 • Spectacle de Thomas Jolly et Julien Condemine

Synopsis : Richard III est une conclusion. Le quatrième et dernier volet d’un cycle d’horreur et de barbarie. L’ultime progression d’une inexorable marche du mal avant le rétablissement de la paix. Il ne s’agit pas seulement du magnétique et fascinant personnage : c’est davantage la peinture d’une société meurtrie et dévastée, propice à l’éclosion d’un monstre dont il est question. A bien des égards, conclure la trilogie Henry VI par ce dernier sursaut de noire politique me semble urgent. Car voici qu’une quatrième génération poursuit les conflits amorcés par leurs aïeux. Une génération désolée d’enfants nés dans la guerre, sans autre repère que le sang et d’autre logique que la violence, élevés pour combattre, venger et tuer. Si Richard peut évoluer avec tant d’aisance à la cour et que ses plans se concrétisent avec une facilité déconcertante, c’est certes par sophistication stratégique mais aussi par une complète absence de règles et un climat d’angoisse permanent dans lequel évoluent tous les personnages. Reconsidérer Richard III dans la continuité d’Henry VI permet d’accéder à la lecture que fait Shakespeare de l’Histoire. Depuis le début d’Henry VI, Shakespeare traduit le resserrement de la notion de conflit : d’abord à l’échelle de deux royaumes (guerre de Cent Ans), le conflit se resserre sur l’Angleterre dans l’opposition de deux familles rivales (guerre des Deux-Roses), puis il glisse au sein de la fratrie York pour finir, à l’acte V de Richard III, par opérer dans le corps même d’un seul personnage en proie à lui-même. Proposer Richard III à la suite des tragédies d’Henry VI fait apparaître cette dramaturgie, perçue dès le début du travail en 2010 et traduite par la mise en scène qui suit une lente courbe descendante. Ce resserrement s’opère tandis que le temps suit sa course… Thomas Jolly. Avril 2015.

SirDarius

a attribué 8/10 au film

Richard III

2016 • Spectacle de Thomas Jolly et Julien Condemine

Synopsis : Richard III est une conclusion. Le quatrième et dernier volet d’un cycle d’horreur et de barbarie. L’ultime progression d’une inexorable marche du mal avant le rétablissement de la paix. Il ne s’agit pas seulement du magnétique et fascinant personnage : c’est davantage la peinture d’une société meurtrie et dévastée, propice à l’éclosion d’un monstre dont il est question. A bien des égards, conclure la trilogie Henry VI par ce dernier sursaut de noire politique me semble urgent. Car voici qu’une quatrième génération poursuit les conflits amorcés par leurs aïeux. Une génération désolée d’enfants nés dans la guerre, sans autre repère que le sang et d’autre logique que la violence, élevés pour combattre, venger et tuer. Si Richard peut évoluer avec tant d’aisance à la cour et que ses plans se concrétisent avec une facilité déconcertante, c’est certes par sophistication stratégique mais aussi par une complète absence de règles et un climat d’angoisse permanent dans lequel évoluent tous les personnages. Reconsidérer Richard III dans la continuité d’Henry VI permet d’accéder à la lecture que fait Shakespeare de l’Histoire. Depuis le début d’Henry VI, Shakespeare traduit le resserrement de la notion de conflit : d’abord à l’échelle de deux royaumes (guerre de Cent Ans), le conflit se resserre sur l’Angleterre dans l’opposition de deux familles rivales (guerre des Deux-Roses), puis il glisse au sein de la fratrie York pour finir, à l’acte V de Richard III, par opérer dans le corps même d’un seul personnage en proie à lui-même. Proposer Richard III à la suite des tragédies d’Henry VI fait apparaître cette dramaturgie, perçue dès le début du travail en 2010 et traduite par la mise en scène qui suit une lente courbe descendante. Ce resserrement s’opère tandis que le temps suit sa course… Thomas Jolly. Avril 2015.

JovialCirconspect

a attribué 9/10 au film

Richard III

2016 • Spectacle de Thomas Jolly et Julien Condemine

Synopsis : Richard III est une conclusion. Le quatrième et dernier volet d’un cycle d’horreur et de barbarie. L’ultime progression d’une inexorable marche du mal avant le rétablissement de la paix. Il ne s’agit pas seulement du magnétique et fascinant personnage : c’est davantage la peinture d’une société meurtrie et dévastée, propice à l’éclosion d’un monstre dont il est question. A bien des égards, conclure la trilogie Henry VI par ce dernier sursaut de noire politique me semble urgent. Car voici qu’une quatrième génération poursuit les conflits amorcés par leurs aïeux. Une génération désolée d’enfants nés dans la guerre, sans autre repère que le sang et d’autre logique que la violence, élevés pour combattre, venger et tuer. Si Richard peut évoluer avec tant d’aisance à la cour et que ses plans se concrétisent avec une facilité déconcertante, c’est certes par sophistication stratégique mais aussi par une complète absence de règles et un climat d’angoisse permanent dans lequel évoluent tous les personnages. Reconsidérer Richard III dans la continuité d’Henry VI permet d’accéder à la lecture que fait Shakespeare de l’Histoire. Depuis le début d’Henry VI, Shakespeare traduit le resserrement de la notion de conflit : d’abord à l’échelle de deux royaumes (guerre de Cent Ans), le conflit se resserre sur l’Angleterre dans l’opposition de deux familles rivales (guerre des Deux-Roses), puis il glisse au sein de la fratrie York pour finir, à l’acte V de Richard III, par opérer dans le corps même d’un seul personnage en proie à lui-même. Proposer Richard III à la suite des tragédies d’Henry VI fait apparaître cette dramaturgie, perçue dès le début du travail en 2010 et traduite par la mise en scène qui suit une lente courbe descendante. Ce resserrement s’opère tandis que le temps suit sa course… Thomas Jolly. Avril 2015.

Guillaume

a attribué 9/10 au film

Richard III

2016 • Spectacle de Thomas Jolly et Julien Condemine

Synopsis : Richard III est une conclusion. Le quatrième et dernier volet d’un cycle d’horreur et de barbarie. L’ultime progression d’une inexorable marche du mal avant le rétablissement de la paix. Il ne s’agit pas seulement du magnétique et fascinant personnage : c’est davantage la peinture d’une société meurtrie et dévastée, propice à l’éclosion d’un monstre dont il est question. A bien des égards, conclure la trilogie Henry VI par ce dernier sursaut de noire politique me semble urgent. Car voici qu’une quatrième génération poursuit les conflits amorcés par leurs aïeux. Une génération désolée d’enfants nés dans la guerre, sans autre repère que le sang et d’autre logique que la violence, élevés pour combattre, venger et tuer. Si Richard peut évoluer avec tant d’aisance à la cour et que ses plans se concrétisent avec une facilité déconcertante, c’est certes par sophistication stratégique mais aussi par une complète absence de règles et un climat d’angoisse permanent dans lequel évoluent tous les personnages. Reconsidérer Richard III dans la continuité d’Henry VI permet d’accéder à la lecture que fait Shakespeare de l’Histoire. Depuis le début d’Henry VI, Shakespeare traduit le resserrement de la notion de conflit : d’abord à l’échelle de deux royaumes (guerre de Cent Ans), le conflit se resserre sur l’Angleterre dans l’opposition de deux familles rivales (guerre des Deux-Roses), puis il glisse au sein de la fratrie York pour finir, à l’acte V de Richard III, par opérer dans le corps même d’un seul personnage en proie à lui-même. Proposer Richard III à la suite des tragédies d’Henry VI fait apparaître cette dramaturgie, perçue dès le début du travail en 2010 et traduite par la mise en scène qui suit une lente courbe descendante. Ce resserrement s’opère tandis que le temps suit sa course… Thomas Jolly. Avril 2015.

Teldou

a envie de voir le film

Axel W

a attribué 9/10 au film

Richard III

2016 • Spectacle de Thomas Jolly et Julien Condemine

Synopsis : Richard III est une conclusion. Le quatrième et dernier volet d’un cycle d’horreur et de barbarie. L’ultime progression d’une inexorable marche du mal avant le rétablissement de la paix. Il ne s’agit pas seulement du magnétique et fascinant personnage : c’est davantage la peinture d’une société meurtrie et dévastée, propice à l’éclosion d’un monstre dont il est question. A bien des égards, conclure la trilogie Henry VI par ce dernier sursaut de noire politique me semble urgent. Car voici qu’une quatrième génération poursuit les conflits amorcés par leurs aïeux. Une génération désolée d’enfants nés dans la guerre, sans autre repère que le sang et d’autre logique que la violence, élevés pour combattre, venger et tuer. Si Richard peut évoluer avec tant d’aisance à la cour et que ses plans se concrétisent avec une facilité déconcertante, c’est certes par sophistication stratégique mais aussi par une complète absence de règles et un climat d’angoisse permanent dans lequel évoluent tous les personnages. Reconsidérer Richard III dans la continuité d’Henry VI permet d’accéder à la lecture que fait Shakespeare de l’Histoire. Depuis le début d’Henry VI, Shakespeare traduit le resserrement de la notion de conflit : d’abord à l’échelle de deux royaumes (guerre de Cent Ans), le conflit se resserre sur l’Angleterre dans l’opposition de deux familles rivales (guerre des Deux-Roses), puis il glisse au sein de la fratrie York pour finir, à l’acte V de Richard III, par opérer dans le corps même d’un seul personnage en proie à lui-même. Proposer Richard III à la suite des tragédies d’Henry VI fait apparaître cette dramaturgie, perçue dès le début du travail en 2010 et traduite par la mise en scène qui suit une lente courbe descendante. Ce resserrement s’opère tandis que le temps suit sa course… Thomas Jolly. Avril 2015.

PeKaNo

a attribué 10/10 au film

Richard III

2016 • Spectacle de Thomas Jolly et Julien Condemine

Synopsis : Richard III est une conclusion. Le quatrième et dernier volet d’un cycle d’horreur et de barbarie. L’ultime progression d’une inexorable marche du mal avant le rétablissement de la paix. Il ne s’agit pas seulement du magnétique et fascinant personnage : c’est davantage la peinture d’une société meurtrie et dévastée, propice à l’éclosion d’un monstre dont il est question. A bien des égards, conclure la trilogie Henry VI par ce dernier sursaut de noire politique me semble urgent. Car voici qu’une quatrième génération poursuit les conflits amorcés par leurs aïeux. Une génération désolée d’enfants nés dans la guerre, sans autre repère que le sang et d’autre logique que la violence, élevés pour combattre, venger et tuer. Si Richard peut évoluer avec tant d’aisance à la cour et que ses plans se concrétisent avec une facilité déconcertante, c’est certes par sophistication stratégique mais aussi par une complète absence de règles et un climat d’angoisse permanent dans lequel évoluent tous les personnages. Reconsidérer Richard III dans la continuité d’Henry VI permet d’accéder à la lecture que fait Shakespeare de l’Histoire. Depuis le début d’Henry VI, Shakespeare traduit le resserrement de la notion de conflit : d’abord à l’échelle de deux royaumes (guerre de Cent Ans), le conflit se resserre sur l’Angleterre dans l’opposition de deux familles rivales (guerre des Deux-Roses), puis il glisse au sein de la fratrie York pour finir, à l’acte V de Richard III, par opérer dans le corps même d’un seul personnage en proie à lui-même. Proposer Richard III à la suite des tragédies d’Henry VI fait apparaître cette dramaturgie, perçue dès le début du travail en 2010 et traduite par la mise en scène qui suit une lente courbe descendante. Ce resserrement s’opère tandis que le temps suit sa course… Thomas Jolly. Avril 2015.

Agrios

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MrBigbyWOlf

a attribué 8/10 au film

Richard III

2016 • Spectacle de Thomas Jolly et Julien Condemine

Synopsis : Richard III est une conclusion. Le quatrième et dernier volet d’un cycle d’horreur et de barbarie. L’ultime progression d’une inexorable marche du mal avant le rétablissement de la paix. Il ne s’agit pas seulement du magnétique et fascinant personnage : c’est davantage la peinture d’une société meurtrie et dévastée, propice à l’éclosion d’un monstre dont il est question. A bien des égards, conclure la trilogie Henry VI par ce dernier sursaut de noire politique me semble urgent. Car voici qu’une quatrième génération poursuit les conflits amorcés par leurs aïeux. Une génération désolée d’enfants nés dans la guerre, sans autre repère que le sang et d’autre logique que la violence, élevés pour combattre, venger et tuer. Si Richard peut évoluer avec tant d’aisance à la cour et que ses plans se concrétisent avec une facilité déconcertante, c’est certes par sophistication stratégique mais aussi par une complète absence de règles et un climat d’angoisse permanent dans lequel évoluent tous les personnages. Reconsidérer Richard III dans la continuité d’Henry VI permet d’accéder à la lecture que fait Shakespeare de l’Histoire. Depuis le début d’Henry VI, Shakespeare traduit le resserrement de la notion de conflit : d’abord à l’échelle de deux royaumes (guerre de Cent Ans), le conflit se resserre sur l’Angleterre dans l’opposition de deux familles rivales (guerre des Deux-Roses), puis il glisse au sein de la fratrie York pour finir, à l’acte V de Richard III, par opérer dans le corps même d’un seul personnage en proie à lui-même. Proposer Richard III à la suite des tragédies d’Henry VI fait apparaître cette dramaturgie, perçue dès le début du travail en 2010 et traduite par la mise en scène qui suit une lente courbe descendante. Ce resserrement s’opère tandis que le temps suit sa course… Thomas Jolly. Avril 2015.

Jean-2022

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Camden

a attribué 8/10 au film

Richard III

2016 • Spectacle de Thomas Jolly et Julien Condemine

Synopsis : Richard III est une conclusion. Le quatrième et dernier volet d’un cycle d’horreur et de barbarie. L’ultime progression d’une inexorable marche du mal avant le rétablissement de la paix. Il ne s’agit pas seulement du magnétique et fascinant personnage : c’est davantage la peinture d’une société meurtrie et dévastée, propice à l’éclosion d’un monstre dont il est question. A bien des égards, conclure la trilogie Henry VI par ce dernier sursaut de noire politique me semble urgent. Car voici qu’une quatrième génération poursuit les conflits amorcés par leurs aïeux. Une génération désolée d’enfants nés dans la guerre, sans autre repère que le sang et d’autre logique que la violence, élevés pour combattre, venger et tuer. Si Richard peut évoluer avec tant d’aisance à la cour et que ses plans se concrétisent avec une facilité déconcertante, c’est certes par sophistication stratégique mais aussi par une complète absence de règles et un climat d’angoisse permanent dans lequel évoluent tous les personnages. Reconsidérer Richard III dans la continuité d’Henry VI permet d’accéder à la lecture que fait Shakespeare de l’Histoire. Depuis le début d’Henry VI, Shakespeare traduit le resserrement de la notion de conflit : d’abord à l’échelle de deux royaumes (guerre de Cent Ans), le conflit se resserre sur l’Angleterre dans l’opposition de deux familles rivales (guerre des Deux-Roses), puis il glisse au sein de la fratrie York pour finir, à l’acte V de Richard III, par opérer dans le corps même d’un seul personnage en proie à lui-même. Proposer Richard III à la suite des tragédies d’Henry VI fait apparaître cette dramaturgie, perçue dès le début du travail en 2010 et traduite par la mise en scène qui suit une lente courbe descendante. Ce resserrement s’opère tandis que le temps suit sa course… Thomas Jolly. Avril 2015.

Camden

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multiryku

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Yoann Pouet-Bocard

a attribué 8/10 au film

Richard III

2016 • Spectacle de Thomas Jolly et Julien Condemine

Synopsis : Richard III est une conclusion. Le quatrième et dernier volet d’un cycle d’horreur et de barbarie. L’ultime progression d’une inexorable marche du mal avant le rétablissement de la paix. Il ne s’agit pas seulement du magnétique et fascinant personnage : c’est davantage la peinture d’une société meurtrie et dévastée, propice à l’éclosion d’un monstre dont il est question. A bien des égards, conclure la trilogie Henry VI par ce dernier sursaut de noire politique me semble urgent. Car voici qu’une quatrième génération poursuit les conflits amorcés par leurs aïeux. Une génération désolée d’enfants nés dans la guerre, sans autre repère que le sang et d’autre logique que la violence, élevés pour combattre, venger et tuer. Si Richard peut évoluer avec tant d’aisance à la cour et que ses plans se concrétisent avec une facilité déconcertante, c’est certes par sophistication stratégique mais aussi par une complète absence de règles et un climat d’angoisse permanent dans lequel évoluent tous les personnages. Reconsidérer Richard III dans la continuité d’Henry VI permet d’accéder à la lecture que fait Shakespeare de l’Histoire. Depuis le début d’Henry VI, Shakespeare traduit le resserrement de la notion de conflit : d’abord à l’échelle de deux royaumes (guerre de Cent Ans), le conflit se resserre sur l’Angleterre dans l’opposition de deux familles rivales (guerre des Deux-Roses), puis il glisse au sein de la fratrie York pour finir, à l’acte V de Richard III, par opérer dans le corps même d’un seul personnage en proie à lui-même. Proposer Richard III à la suite des tragédies d’Henry VI fait apparaître cette dramaturgie, perçue dès le début du travail en 2010 et traduite par la mise en scène qui suit une lente courbe descendante. Ce resserrement s’opère tandis que le temps suit sa course… Thomas Jolly. Avril 2015.

Mr_Chouette

a attribué 4/10 au film

Mr_Chouette

Le charmant mélange d'un piètre acteur et d'un mauvais metteur en scène. Le Richard de Jolly est assez correct en bouffon mais dès qu'il doit se révéler furieux ou pitoyable ça tombe dans quelque chose d'assez informe. La mise en scène pèche par son excès même et son envie d'en mettre techniquement plein les mirettes (cela dit j'ai vu une captation). Quand on a vu le Richard d'Ostermeier on ne peut avoir les mêmes attentes.

Le 9 févr. 2020