L'actualité sur Rien que les heures
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1926 • Documentaire de Alberto Cavalcanti
Synopsis : Rien que les heures fut le premier des films "city symphony" ou « symphonie urbaine », genre né dans les années 20 de l’intérêt porté à la relation de l’espace et du temps et qui menèrent à la création du genre documentaire. Film curieux et fascinant, mélange d’esthétique et de social, il nous présente Paris des premières lueurs de l’aube jusqu’au coeur de la nuit suivante, à travers des scènes contrastées, montrant des lieux et des moments d’activité ou d’inactivité humaine, des ouvriers au travail ou de gens qui nagent… Cavalcanti s’attache à nous présenter la réalité sociale de la capitale, en utilisant un nombre considérable d’images très stylisées, agrémentées d’une multitude d’effets visuels (comme surimpressions, splits-screens, ou encore volets).
1926 • Documentaire de Alberto Cavalcanti
Synopsis : Rien que les heures fut le premier des films "city symphony" ou « symphonie urbaine », genre né dans les années 20 de l’intérêt porté à la relation de l’espace et du temps et qui menèrent à la création du genre documentaire. Film curieux et fascinant, mélange d’esthétique et de social, il nous présente Paris des premières lueurs de l’aube jusqu’au coeur de la nuit suivante, à travers des scènes contrastées, montrant des lieux et des moments d’activité ou d’inactivité humaine, des ouvriers au travail ou de gens qui nagent… Cavalcanti s’attache à nous présenter la réalité sociale de la capitale, en utilisant un nombre considérable d’images très stylisées, agrémentées d’une multitude d’effets visuels (comme surimpressions, splits-screens, ou encore volets).
1926 • Documentaire de Alberto Cavalcanti
Synopsis : Rien que les heures fut le premier des films "city symphony" ou « symphonie urbaine », genre né dans les années 20 de l’intérêt porté à la relation de l’espace et du temps et qui menèrent à la création du genre documentaire. Film curieux et fascinant, mélange d’esthétique et de social, il nous présente Paris des premières lueurs de l’aube jusqu’au coeur de la nuit suivante, à travers des scènes contrastées, montrant des lieux et des moments d’activité ou d’inactivité humaine, des ouvriers au travail ou de gens qui nagent… Cavalcanti s’attache à nous présenter la réalité sociale de la capitale, en utilisant un nombre considérable d’images très stylisées, agrémentées d’une multitude d’effets visuels (comme surimpressions, splits-screens, ou encore volets).
Le 12 sept. 2024
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1926 • Documentaire de Alberto Cavalcanti
Synopsis : Rien que les heures fut le premier des films "city symphony" ou « symphonie urbaine », genre né dans les années 20 de l’intérêt porté à la relation de l’espace et du temps et qui menèrent à la création du genre documentaire. Film curieux et fascinant, mélange d’esthétique et de social, il nous présente Paris des premières lueurs de l’aube jusqu’au coeur de la nuit suivante, à travers des scènes contrastées, montrant des lieux et des moments d’activité ou d’inactivité humaine, des ouvriers au travail ou de gens qui nagent… Cavalcanti s’attache à nous présenter la réalité sociale de la capitale, en utilisant un nombre considérable d’images très stylisées, agrémentées d’une multitude d’effets visuels (comme surimpressions, splits-screens, ou encore volets).
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1926 • Documentaire de Alberto Cavalcanti
Synopsis : Rien que les heures fut le premier des films "city symphony" ou « symphonie urbaine », genre né dans les années 20 de l’intérêt porté à la relation de l’espace et du temps et qui menèrent à la création du genre documentaire. Film curieux et fascinant, mélange d’esthétique et de social, il nous présente Paris des premières lueurs de l’aube jusqu’au coeur de la nuit suivante, à travers des scènes contrastées, montrant des lieux et des moments d’activité ou d’inactivité humaine, des ouvriers au travail ou de gens qui nagent… Cavalcanti s’attache à nous présenter la réalité sociale de la capitale, en utilisant un nombre considérable d’images très stylisées, agrémentées d’une multitude d’effets visuels (comme surimpressions, splits-screens, ou encore volets).
1926 • Documentaire de Alberto Cavalcanti
Synopsis : Rien que les heures fut le premier des films "city symphony" ou « symphonie urbaine », genre né dans les années 20 de l’intérêt porté à la relation de l’espace et du temps et qui menèrent à la création du genre documentaire. Film curieux et fascinant, mélange d’esthétique et de social, il nous présente Paris des premières lueurs de l’aube jusqu’au coeur de la nuit suivante, à travers des scènes contrastées, montrant des lieux et des moments d’activité ou d’inactivité humaine, des ouvriers au travail ou de gens qui nagent… Cavalcanti s’attache à nous présenter la réalité sociale de la capitale, en utilisant un nombre considérable d’images très stylisées, agrémentées d’une multitude d’effets visuels (comme surimpressions, splits-screens, ou encore volets).
1926 • Documentaire de Alberto Cavalcanti
Synopsis : Rien que les heures fut le premier des films "city symphony" ou « symphonie urbaine », genre né dans les années 20 de l’intérêt porté à la relation de l’espace et du temps et qui menèrent à la création du genre documentaire. Film curieux et fascinant, mélange d’esthétique et de social, il nous présente Paris des premières lueurs de l’aube jusqu’au coeur de la nuit suivante, à travers des scènes contrastées, montrant des lieux et des moments d’activité ou d’inactivité humaine, des ouvriers au travail ou de gens qui nagent… Cavalcanti s’attache à nous présenter la réalité sociale de la capitale, en utilisant un nombre considérable d’images très stylisées, agrémentées d’une multitude d’effets visuels (comme surimpressions, splits-screens, ou encore volets).
1926 • Documentaire de Alberto Cavalcanti
Synopsis : Rien que les heures fut le premier des films "city symphony" ou « symphonie urbaine », genre né dans les années 20 de l’intérêt porté à la relation de l’espace et du temps et qui menèrent à la création du genre documentaire. Film curieux et fascinant, mélange d’esthétique et de social, il nous présente Paris des premières lueurs de l’aube jusqu’au coeur de la nuit suivante, à travers des scènes contrastées, montrant des lieux et des moments d’activité ou d’inactivité humaine, des ouvriers au travail ou de gens qui nagent… Cavalcanti s’attache à nous présenter la réalité sociale de la capitale, en utilisant un nombre considérable d’images très stylisées, agrémentées d’une multitude d’effets visuels (comme surimpressions, splits-screens, ou encore volets).