L'actualité sur Robert Doisneau : le révolté du merveilleux

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Robert Doisneau : le révolté du merveilleux

2015 • Documentaire de Clémentine Deroudille

Synopsis : La vie (intime) et l'oeuvre d'un des maîtres français de la photographie, par sa petite-fille. Un regard tendre et humaniste, comme l'était Robert Doisneau. "Une lutte vaine. Une lutte perdue d'avance avec le temps qui file." C'est souvent sans grandiloquence, avec des mots simples, que Robert Doisneau parlait de la photographie, lui qui ne se voyait ni comme un auteur ni comme un artiste. Cet infatigable arpenteur des bitumes banlieusards, disparu en 1994, fut en tout point remarquable par la modestie d'une démarche circonscrite aux petites gens et aux scènes du quotidien. Grâce à ce (faux) naturalisme, qu'il teinta de merveilleux, il toucha ainsi à l'universel pour figurer au panthéon de la photographie humaniste, parmi ses congénères Édouard Boubat, Willy Ronis ou Henri Cartier-Bresson.

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Robert Doisneau : le révolté du merveilleux

2015 • Documentaire de Clémentine Deroudille

Synopsis : La vie (intime) et l'oeuvre d'un des maîtres français de la photographie, par sa petite-fille. Un regard tendre et humaniste, comme l'était Robert Doisneau. "Une lutte vaine. Une lutte perdue d'avance avec le temps qui file." C'est souvent sans grandiloquence, avec des mots simples, que Robert Doisneau parlait de la photographie, lui qui ne se voyait ni comme un auteur ni comme un artiste. Cet infatigable arpenteur des bitumes banlieusards, disparu en 1994, fut en tout point remarquable par la modestie d'une démarche circonscrite aux petites gens et aux scènes du quotidien. Grâce à ce (faux) naturalisme, qu'il teinta de merveilleux, il toucha ainsi à l'universel pour figurer au panthéon de la photographie humaniste, parmi ses congénères Édouard Boubat, Willy Ronis ou Henri Cartier-Bresson.

Umbicauzo
Robert Doisneau : le révolté du merveilleux

2015 • Documentaire de Clémentine Deroudille

Synopsis : La vie (intime) et l'oeuvre d'un des maîtres français de la photographie, par sa petite-fille. Un regard tendre et humaniste, comme l'était Robert Doisneau. "Une lutte vaine. Une lutte perdue d'avance avec le temps qui file." C'est souvent sans grandiloquence, avec des mots simples, que Robert Doisneau parlait de la photographie, lui qui ne se voyait ni comme un auteur ni comme un artiste. Cet infatigable arpenteur des bitumes banlieusards, disparu en 1994, fut en tout point remarquable par la modestie d'une démarche circonscrite aux petites gens et aux scènes du quotidien. Grâce à ce (faux) naturalisme, qu'il teinta de merveilleux, il toucha ainsi à l'universel pour figurer au panthéon de la photographie humaniste, parmi ses congénères Édouard Boubat, Willy Ronis ou Henri Cartier-Bresson.

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Robert Doisneau : le révolté du merveilleux

2015 • Documentaire de Clémentine Deroudille

Synopsis : La vie (intime) et l'oeuvre d'un des maîtres français de la photographie, par sa petite-fille. Un regard tendre et humaniste, comme l'était Robert Doisneau. "Une lutte vaine. Une lutte perdue d'avance avec le temps qui file." C'est souvent sans grandiloquence, avec des mots simples, que Robert Doisneau parlait de la photographie, lui qui ne se voyait ni comme un auteur ni comme un artiste. Cet infatigable arpenteur des bitumes banlieusards, disparu en 1994, fut en tout point remarquable par la modestie d'une démarche circonscrite aux petites gens et aux scènes du quotidien. Grâce à ce (faux) naturalisme, qu'il teinta de merveilleux, il toucha ainsi à l'universel pour figurer au panthéon de la photographie humaniste, parmi ses congénères Édouard Boubat, Willy Ronis ou Henri Cartier-Bresson.

raphael aubanel
Robert Doisneau : le révolté du merveilleux

2015 • Documentaire de Clémentine Deroudille

Synopsis : La vie (intime) et l'oeuvre d'un des maîtres français de la photographie, par sa petite-fille. Un regard tendre et humaniste, comme l'était Robert Doisneau. "Une lutte vaine. Une lutte perdue d'avance avec le temps qui file." C'est souvent sans grandiloquence, avec des mots simples, que Robert Doisneau parlait de la photographie, lui qui ne se voyait ni comme un auteur ni comme un artiste. Cet infatigable arpenteur des bitumes banlieusards, disparu en 1994, fut en tout point remarquable par la modestie d'une démarche circonscrite aux petites gens et aux scènes du quotidien. Grâce à ce (faux) naturalisme, qu'il teinta de merveilleux, il toucha ainsi à l'universel pour figurer au panthéon de la photographie humaniste, parmi ses congénères Édouard Boubat, Willy Ronis ou Henri Cartier-Bresson.

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Robert Doisneau : le révolté du merveilleux

2015 • Documentaire de Clémentine Deroudille

Synopsis : La vie (intime) et l'oeuvre d'un des maîtres français de la photographie, par sa petite-fille. Un regard tendre et humaniste, comme l'était Robert Doisneau. "Une lutte vaine. Une lutte perdue d'avance avec le temps qui file." C'est souvent sans grandiloquence, avec des mots simples, que Robert Doisneau parlait de la photographie, lui qui ne se voyait ni comme un auteur ni comme un artiste. Cet infatigable arpenteur des bitumes banlieusards, disparu en 1994, fut en tout point remarquable par la modestie d'une démarche circonscrite aux petites gens et aux scènes du quotidien. Grâce à ce (faux) naturalisme, qu'il teinta de merveilleux, il toucha ainsi à l'universel pour figurer au panthéon de la photographie humaniste, parmi ses congénères Édouard Boubat, Willy Ronis ou Henri Cartier-Bresson.

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Robert Doisneau : le révolté du merveilleux

2015 • Documentaire de Clémentine Deroudille

Synopsis : La vie (intime) et l'oeuvre d'un des maîtres français de la photographie, par sa petite-fille. Un regard tendre et humaniste, comme l'était Robert Doisneau. "Une lutte vaine. Une lutte perdue d'avance avec le temps qui file." C'est souvent sans grandiloquence, avec des mots simples, que Robert Doisneau parlait de la photographie, lui qui ne se voyait ni comme un auteur ni comme un artiste. Cet infatigable arpenteur des bitumes banlieusards, disparu en 1994, fut en tout point remarquable par la modestie d'une démarche circonscrite aux petites gens et aux scènes du quotidien. Grâce à ce (faux) naturalisme, qu'il teinta de merveilleux, il toucha ainsi à l'universel pour figurer au panthéon de la photographie humaniste, parmi ses congénères Édouard Boubat, Willy Ronis ou Henri Cartier-Bresson.

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Robert Doisneau : le révolté du merveilleux

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Noemie Mathis
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Synopsis : La vie (intime) et l'oeuvre d'un des maîtres français de la photographie, par sa petite-fille. Un regard tendre et humaniste, comme l'était Robert Doisneau. "Une lutte vaine. Une lutte perdue d'avance avec le temps qui file." C'est souvent sans grandiloquence, avec des mots simples, que Robert Doisneau parlait de la photographie, lui qui ne se voyait ni comme un auteur ni comme un artiste. Cet infatigable arpenteur des bitumes banlieusards, disparu en 1994, fut en tout point remarquable par la modestie d'une démarche circonscrite aux petites gens et aux scènes du quotidien. Grâce à ce (faux) naturalisme, qu'il teinta de merveilleux, il toucha ainsi à l'universel pour figurer au panthéon de la photographie humaniste, parmi ses congénères Édouard Boubat, Willy Ronis ou Henri Cartier-Bresson.

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