Grégarité toute américaine
J'emprunte une présentation ready-made faîte à l'occasion de la diffusion de ce film par deux responsables de la sélection American Fringe pour la Cinémathèque Française : "Quand un jeune...
le 24 févr. 2024
J'emprunte une présentation ready-made faîte à l'occasion de la diffusion de ce film par deux responsables de la sélection American Fringe pour la Cinémathèque Française : "Quand un jeune photographe (Brett Hanover, avec ce premier film profondément personnel) emporte son appareil photo à une convention furry à Memphis, il découvre un monde étrange, bien plus séduisant qu'il ne voudrait l'admettre. Au fil de ce film passionnant et courageux, à mi-chemin entre documentaire et fiction, sa relation avec son amie d'enfance gagne en maturité, tout comme sa fascination pour un artiste furry surnommé Rukus, qui de son côté travaille d'arrache-pied à un roman graphique complexe... tout en luttant contre ses propres démons intérieurs. De cette plongée dans l'étrange milieu furry résulte un film extrêmement touchant, qui nous conduit au plus près des motivations de ces adeptes des costumes d'animaux."
Rien à ajouter sinon que le réalisateur est dans son adolescence à l'époque, qu'il est homo ou bisexuel en 2006-2008 quand il a commencé, donc il y a une "précocité" proche de celle d'un autre jeune américain précoce : Harmony Korine.
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le 24 févr. 2024
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