Après l'humanité balbutiante de «La Guerre du feu» et les moines obscurantistes du «Nom de la rose», Annaud tourne sa caméra vers un peuple de lumière : les Tibétains, véritables héros de cette fresque trop belle et trop lisse pour émouvoir, malgré David Thewlis (Prix d'interprétation à Cannes en 1993 pour «Naked» de Mike Leigh) et Brad Pitt.
Clin D'œil :
La ville de Lhassa a été entièrement recréée… En Argentine ! En effet la production a été interdite de tournage au Tibet par les autorités chinoises, Jean Jacques Annaud a été contraint de tourner la majorité de son film dans la Cordillère des Andes et en Autriche. Toute fois le réalisateur a dans le plus grand secret envoyé une équipe faire quelques plans au Tibet en toute discrétion.