Les dents vont bien aussi aux femmes

She-Wolf of London (1946)

Des meurtres à Londres, décidément cette ville déconne.

Notre héroïne convaincu d'en être l'auteur va tomber dans une paranoïa violente comme un cyclone.

Qui est le vrai criminel, la question est bien bonne.

Après La créature de Londre voici She-Wolf of London.

Bonjour a tous amis de l'angoisse, aujourd'hui attaquons nous a She-Wolf of London de Jean Yarbrough a qui nous devons La chauve-souris du diable, Le roi des zombies ou La poule aux œufs d'or. De nombreux meurtres on lieux à Londres, notre héroïne Phyllis Allenby pense être l'auteur de ses crimes puisque une malédiction plane sur sa famille parlant de lycanthropie, qui est le coupable et ou est la vérité, mystère. Il s'agit d'un film intéressant car il mêle habillement le thriller policier et l'horreur mais suggérée, afin de laisser planer jusqu'au dernier moment le mystère sur l'identité du tueur, un film aux décors très atmosphériques tel que cette maison ou réside notre petite famille ou cette forêt/parc où plâne un brouillard des plus glaçant, en revanche j'avoue ne pas accrocher au jeu de notre héroïne incarnée par June Lockhart qui passe continuellement pour une victime à la moindre contrariété ce qui a le don de m'énerver un peu mais bon c'est le personnage qui veut cela, cependant j'ai beaucoup aimé le jeu ambigu de la mère incarné par Sara Haden, je reste également déçu par la fin que j'ai trouvé trop vite boucler alors que la révélation quoi que classique était intéressante. Bref un film que je ne vous conseille pas forcément même si il reste visionnable de par ses nombreuses qualités, allez tchuss crevez tous mouhaha.

La ville de Londres est secouée par une série d'horribles meurtres. Une belle jeune femme est rapidement soupçonnée.