Évidemment j'adore ce film, ses longd plans dans la montagne, la maestria pour suivre Danny roulant dans les couloirs, les visions horrifiques du même Dany, la musique qui renforce et crée le malaise, le jeu hallucinant et halluciné de J Nicholson, les yeux horrifiée de Wendy, le labyrinthe, l'hôtel lui-même labyrinthique, l'idée de la salle de bal, de la chambre 237...
Tant d'idée, de séquences inoubliables.
Toutefois la version longue rajoute des scènes plus explicatives et qui finalement nuisent au rythme du crescendo de la montée de pression et de l'épouvante.
Ça reste du très grand cinéma