C'est à 100 mille lieux de son homologue des ondes, ça n'est pas drôle, c'est torché à la va vite en reprenant quelques bribes de scénar ici et là, et les personnages ne sont pas respectés, les pires étant Paul Préboist et Michel Galabru qui détruisent le côté fin des deux célèbres Black & White.
Reste un film fourre tout de têtes connues de l'époque. Eh oui, Astérix et ses jeux olympiques n'a même pas le mérite de cette "feature".
En gros, voilà deux points pour Roger Carel qui reprend son rôle excellent de Igor Sokolodovenko et M. Desproges plutôt marrant.
Allez deux autres points pour l'idée de base et le fait que ça a attiré des badauds sur l'oeuvre originale.