Quand on est une mauvaise réalisatrice comme April Mullen, à moins de vouloir enfoncer sa carrière dans un néant absolu, tenter le diable avec un sujet autour de la mort et de la technologie pour recréer des vivants n'est jamais la chose la plus audacieuse du cinéma américain. Nous en avons eu des exemples par le passé et le sujet de la haute-technologie dans les films est dépassé depuis des décennies... Dans Simulant, en reprenant de l'inspiration du côté de Black Mirror, le film arbore un aspect foutrement horrible visuellement (stoppez cette couleur bleue dégueulasse) - tout comme l'hyper utilisation de technologie de "pointe" tout en mélangeant thriller avec film d'action dont seuls ceux qui aiment les navets vont adhérer. Une nouvelle fois, Sam Worthington s'offre un rôle sans vie dans un rôle secondaire qui ne sert pas à grand chose.