André de Toth a réalisé Six semaines de bonheur en 1939 juste avant son exil de Hongrie, son pays natal. Ce long-métrage fait partie des cinq premiers opus de sa filmographie qu’il réalisa en l’espace d’à peine plus d’un an ! Une production rapide dont le défaut réside ici dans une postsynchronisation perfectible. Lire la critique complète.

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le 3 déc. 2022

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