Pour la première (et probablement la dernière) fois de ma vie, j’ai découvert deux oeuvres de Gaspar Noé, je ne vais donc pas répéter ce que j’ai déjà dis dans l’autre critique. Sodomites fait partie des oeuvres “inconnues” du réalisateur car c’est un court-métrage réaliser à ses débuts. En me renseignant sur le court-métrage, j’ai appris qu’il avait été créer sur demande du ministère de la culture, pour une campagne de lutte contre le sida, mais même sans le savoir, on peut s’en douter. Comme bien souvent dans le cinéma de Gaspar Noé, nous sommes dans l’ambiance, encore plus dans celui-ci étant donné que c’est un court-métrage. Il n’y a pas de dialogues, mais contrairement à la plupart des films muets, ici il n’y a pas besoin de textes pour nous expliquer les dialogues, les grognements suffisent. La scène principale est une scène de sexe tournée et montée à une vitesse presque épileptique.