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2002 • Documentaire de James Benning
Synopsis : De nombreux films de ce maître du cinéma de paysage sont des études cinématographiques de paysages spécifiques, comme c’est le cas de SOGOBI – le mot shoshonéen pour « Terre » –, l’approche de Benning à la nature sauvage californienne en 35 scènes soigneusement composées avec une grande profondeur de champ et dépourvues d’humains. « J’ai passé un an au milieu de nulle part et c’est peut-être ce qui se rapproche le plus de dépeindre un véritable sentiment d’endroit. »
2002 • Documentaire de James Benning
Synopsis : De nombreux films de ce maître du cinéma de paysage sont des études cinématographiques de paysages spécifiques, comme c’est le cas de SOGOBI – le mot shoshonéen pour « Terre » –, l’approche de Benning à la nature sauvage californienne en 35 scènes soigneusement composées avec une grande profondeur de champ et dépourvues d’humains. « J’ai passé un an au milieu de nulle part et c’est peut-être ce qui se rapproche le plus de dépeindre un véritable sentiment d’endroit. »
2002 • Documentaire de James Benning
Synopsis : De nombreux films de ce maître du cinéma de paysage sont des études cinématographiques de paysages spécifiques, comme c’est le cas de SOGOBI – le mot shoshonéen pour « Terre » –, l’approche de Benning à la nature sauvage californienne en 35 scènes soigneusement composées avec une grande profondeur de champ et dépourvues d’humains. « J’ai passé un an au milieu de nulle part et c’est peut-être ce qui se rapproche le plus de dépeindre un véritable sentiment d’endroit. »
2002 • Documentaire de James Benning
Synopsis : De nombreux films de ce maître du cinéma de paysage sont des études cinématographiques de paysages spécifiques, comme c’est le cas de SOGOBI – le mot shoshonéen pour « Terre » –, l’approche de Benning à la nature sauvage californienne en 35 scènes soigneusement composées avec une grande profondeur de champ et dépourvues d’humains. « J’ai passé un an au milieu de nulle part et c’est peut-être ce qui se rapproche le plus de dépeindre un véritable sentiment d’endroit. »
2002 • Documentaire de James Benning
Synopsis : De nombreux films de ce maître du cinéma de paysage sont des études cinématographiques de paysages spécifiques, comme c’est le cas de SOGOBI – le mot shoshonéen pour « Terre » –, l’approche de Benning à la nature sauvage californienne en 35 scènes soigneusement composées avec une grande profondeur de champ et dépourvues d’humains. « J’ai passé un an au milieu de nulle part et c’est peut-être ce qui se rapproche le plus de dépeindre un véritable sentiment d’endroit. »
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Synopsis : De nombreux films de ce maître du cinéma de paysage sont des études cinématographiques de paysages spécifiques, comme c’est le cas de SOGOBI – le mot shoshonéen pour « Terre » –, l’approche de Benning à la nature sauvage californienne en 35 scènes soigneusement composées avec une grande profondeur de champ et dépourvues d’humains. « J’ai passé un an au milieu de nulle part et c’est peut-être ce qui se rapproche le plus de dépeindre un véritable sentiment d’endroit. »
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2002 • Documentaire de James Benning
Synopsis : De nombreux films de ce maître du cinéma de paysage sont des études cinématographiques de paysages spécifiques, comme c’est le cas de SOGOBI – le mot shoshonéen pour « Terre » –, l’approche de Benning à la nature sauvage californienne en 35 scènes soigneusement composées avec une grande profondeur de champ et dépourvues d’humains. « J’ai passé un an au milieu de nulle part et c’est peut-être ce qui se rapproche le plus de dépeindre un véritable sentiment d’endroit. »
