Plus qu'un véritable hommage de la part du porte-drapeau de la culture geek, on retrouve dans ce nouvel épisode l'authenticité de la première trilogie. "Des effets spéciaux il y a" bien sûr, mais pas à outrance comme ce fut le cas lors de la prélogie. Par ailleurs, s'affranchir peu à peu des figures mythiques pour offrir un avenir à la série est un objectif pleinement rempli. La nouvelle génération prouve qu'elle est capable de s'emparer de l'univers en totale autonomie.
Au rayon des défauts, on peut noter la musique fébrile de John Williams à laquelle il manque le souffle épique des précédentes. Mais on remarque aussi quelques errances scénaristiques (un contexte politique effarant, ou la présence de scènes hors-propos par exemple).