Carré de destins
Après la réalisation de plusieurs courts-métrages dont L’accordeur en 2010, Olivier Treiner livre son premier long-métrage titré Le tourbillon de la vie. Il peut être dessiné un lien entre...
le 23 déc. 2022
8 j'aime
Dans la composition de ses cadres, Knut Erik Jensen a toujours fait preuve d’une aptitude rare à capter et souligner les détails des textures. La plupart de ses films rendent hommage à la nature et aux populations du nord de la Norvège. Ces caractéristiques sont déjà présentes dans Stella polaris, son premier long métrage.
Ce film puzzle a des allures de poème, poème sur la mémoire et ses méandres. Quasiment sans dialogues, il navigue sur 40 années à l’extrême nord de la Norvège. Le réalisateur accorde ici une importance particulière aux mouvements de caméra et aux battements de l’image. Ces mouvements chorégraphiques, alliés au travail sonore, rassemblent tous les fragments d’une histoire individuelle mais dont la portée est universelle. Sublime.
Créée
le 20 avr. 2018
Critique lue 212 fois
2 j'aime
2 commentaires
Du même critique
Après la réalisation de plusieurs courts-métrages dont L’accordeur en 2010, Olivier Treiner livre son premier long-métrage titré Le tourbillon de la vie. Il peut être dessiné un lien entre...
le 23 déc. 2022
8 j'aime
Le bleu du caftan relève d’un cinéma combinant à la fois poses et pauses. Reconnaissons à Maryam Touzani la qualité de sa composition cinématographique. Les cadres et la photographie du film sont de...
le 20 mars 2023
7 j'aime
1
Piège pour Cendrillon fait partie des films les plus rares parmi ceux réalisés par André Cayatte. Avec l’aide de Jean Anouilh, le cinéaste adapte sur grand écran le roman éponyme de Sébastien...
le 4 janv. 2020
5 j'aime