Ça démarre mal, avec une séquence d'intro lourdingue et ultra-scolaire sur une douteuse reprise de Sweet dreams. Au moins, on ne perd personne en route, tout le monde comprend.
Arrivée à l'asile. Tiens donc, toutes les pensionnaires sont de jeunes filles bien fichues. Ben ça tombe bien, alors on pourrait dire que c'est en fait plus ou moins un bordel.
Là, j'avance parce que je n'en peux déjà plus - entre le zoom sur les indices digne de Fort-Boyard et le regard de l'héroïne, aussi expressive qu'une prostituée moldave qui aurait oublié de simuler.
Je tombe sur une scène de bataille : l'héroïne contre un espèce de samouraï géant armé d'une mitrailleuse lourde et de la CGI baveuse.
Je crois que c'est le bon moment pour arrêter. Je doute fort que la suite aurait relevé ma note.