Le champ des damnés
Bof bof. Intrigue assez molle et convenue, sans trop de surprise ni de scènes fortes. Les personnages sont assez peu développées et l'intrigue est trop prévisible, ne parvient jamais à surprendre son...
Par
le 4 oct. 2021
Certains endroits semblent attirer la tristesse. Dans le drame surnaturel australien Sweet River, ces tragédies s’entrelacent, s’entremêlent et s’imbriquent alors même qu’elles divisent toutes les personnes impliquées en fragments. Hanna (Lisa Kay) est brisée bien avant d’être vue pour la première fois se diriger vers la petite ville de Billins, une communauté de canne à sucre au milieu de nulle part avec une histoire amère. Elle soupçonne que son fils a été victime d’un tueur en série qui a vécu et est mort là-bas, mais son corps n’a jamais été retrouvé. C’est pourquoi personne ne peut être trop dur quand elle roule, draguant pour de vieux souvenirs, le cœur brisé, furieuse. C’est pourquoi John (ancien acteur australien Martin Sacks) et Elenore Drake (Genevieve Lemon) l’ont laissée séjourner dans une propriété louée.
Critique disponible en intégralité : https://cestquoilecinema.fr/critique-sweet-river-tueur-denfants-et-mere-en-deuil-une-histoire-tristement-deja-vu-gerardmer-2021/
Cet utilisateur l'a également ajouté à ses listes Un jour on retournera au cinéma, ce jour sera en 2021. [See in Kino] et 28e Festival International du film Fantastique de Garardmer (films vus et programmés)
Créée
le 30 janv. 2021
Critique lue 1.1K fois
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