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Rubedo

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waeness

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The Action

2012 • Court-métrage de David Matarasso

Synopsis : “Film expérimental à partir de bandes annonces de films pornos et d’action découpées. The Action se compose donc d’éclats, de fragments d’images s’incrustant les uns dans les autres. Il s’agit non seulement du plus grand film de « found-footage » jamais fait à ce jour, mais également une proposition visuelle des mythologies américaines à travers des motifs et des textures d’images. Enfin, The Action s’impose comme le chant du cygne des films faits en pellicule et dont les déchirures, les collures et les rayures évoquent les vieux films abîmés des salles de quartiers parisiennes (révolues aujourd’hui) qui projetaient principalement des films d’action ou pornos en tout genres (dont les films Grindhouse de Rodriguez et Tarantino ont récemment rendu hommage). Ce qui constitue l’ambiguïté du film de David Matarasso repose à la fois sur une critique d’un cinéma d’exploitation et industriel toujours existant et, paradoxalement, une homélie de la présence « physique » de corps sexués dans ces mêmes films auxquels répondent un travail acharné, passionné et tactile de son auteur sur la pellicule : la pellicule du film devient puissamment organique et s’apparente à une charpente, puis à une mosaïque et enfin à de la pure orfèvrerie. Ces images renvoient aussi bien à une critique sociale et politique qu’à une réflexion du cinéma de genre ; elles s’interpénètrent, s’imbriquent, s’excluent, se fondent pour épuiser toute la dynamique formelle d’une photogénie puissante parce qu’industrielle qui transforment les corps en énergies de la « dépense ».” Texte écrit par Derek Woolfenden

Marielle G

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ZoronoZ

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Hegemonikon

a attribué 7/10 au film

The Action

2012 • Court-métrage de David Matarasso

Synopsis : “Film expérimental à partir de bandes annonces de films pornos et d’action découpées. The Action se compose donc d’éclats, de fragments d’images s’incrustant les uns dans les autres. Il s’agit non seulement du plus grand film de « found-footage » jamais fait à ce jour, mais également une proposition visuelle des mythologies américaines à travers des motifs et des textures d’images. Enfin, The Action s’impose comme le chant du cygne des films faits en pellicule et dont les déchirures, les collures et les rayures évoquent les vieux films abîmés des salles de quartiers parisiennes (révolues aujourd’hui) qui projetaient principalement des films d’action ou pornos en tout genres (dont les films Grindhouse de Rodriguez et Tarantino ont récemment rendu hommage). Ce qui constitue l’ambiguïté du film de David Matarasso repose à la fois sur une critique d’un cinéma d’exploitation et industriel toujours existant et, paradoxalement, une homélie de la présence « physique » de corps sexués dans ces mêmes films auxquels répondent un travail acharné, passionné et tactile de son auteur sur la pellicule : la pellicule du film devient puissamment organique et s’apparente à une charpente, puis à une mosaïque et enfin à de la pure orfèvrerie. Ces images renvoient aussi bien à une critique sociale et politique qu’à une réflexion du cinéma de genre ; elles s’interpénètrent, s’imbriquent, s’excluent, se fondent pour épuiser toute la dynamique formelle d’une photogénie puissante parce qu’industrielle qui transforment les corps en énergies de la « dépense ».” Texte écrit par Derek Woolfenden

theotime17

a attribué 9/10 au film

The Action

2012 • Court-métrage de David Matarasso

Synopsis : “Film expérimental à partir de bandes annonces de films pornos et d’action découpées. The Action se compose donc d’éclats, de fragments d’images s’incrustant les uns dans les autres. Il s’agit non seulement du plus grand film de « found-footage » jamais fait à ce jour, mais également une proposition visuelle des mythologies américaines à travers des motifs et des textures d’images. Enfin, The Action s’impose comme le chant du cygne des films faits en pellicule et dont les déchirures, les collures et les rayures évoquent les vieux films abîmés des salles de quartiers parisiennes (révolues aujourd’hui) qui projetaient principalement des films d’action ou pornos en tout genres (dont les films Grindhouse de Rodriguez et Tarantino ont récemment rendu hommage). Ce qui constitue l’ambiguïté du film de David Matarasso repose à la fois sur une critique d’un cinéma d’exploitation et industriel toujours existant et, paradoxalement, une homélie de la présence « physique » de corps sexués dans ces mêmes films auxquels répondent un travail acharné, passionné et tactile de son auteur sur la pellicule : la pellicule du film devient puissamment organique et s’apparente à une charpente, puis à une mosaïque et enfin à de la pure orfèvrerie. Ces images renvoient aussi bien à une critique sociale et politique qu’à une réflexion du cinéma de genre ; elles s’interpénètrent, s’imbriquent, s’excluent, se fondent pour épuiser toute la dynamique formelle d’une photogénie puissante parce qu’industrielle qui transforment les corps en énergies de la « dépense ».” Texte écrit par Derek Woolfenden

P_A_N

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Les meilleurs films français

The Action

2012 • Court-métrage de David Matarasso

Synopsis : “Film expérimental à partir de bandes annonces de films pornos et d’action découpées. The Action se compose donc d’éclats, de fragments d’images s’incrustant les uns dans les autres. Il s’agit non seulement du plus grand film de « found-footage » jamais fait à ce jour, mais également une proposition visuelle des mythologies américaines à travers des motifs et des textures d’images. Enfin, The Action s’impose comme le chant du cygne des films faits en pellicule et dont les déchirures, les collures et les rayures évoquent les vieux films abîmés des salles de quartiers parisiennes (révolues aujourd’hui) qui projetaient principalement des films d’action ou pornos en tout genres (dont les films Grindhouse de Rodriguez et Tarantino ont récemment rendu hommage). Ce qui constitue l’ambiguïté du film de David Matarasso repose à la fois sur une critique d’un cinéma d’exploitation et industriel toujours existant et, paradoxalement, une homélie de la présence « physique » de corps sexués dans ces mêmes films auxquels répondent un travail acharné, passionné et tactile de son auteur sur la pellicule : la pellicule du film devient puissamment organique et s’apparente à une charpente, puis à une mosaïque et enfin à de la pure orfèvrerie. Ces images renvoient aussi bien à une critique sociale et politique qu’à une réflexion du cinéma de genre ; elles s’interpénètrent, s’imbriquent, s’excluent, se fondent pour épuiser toute la dynamique formelle d’une photogénie puissante parce qu’industrielle qui transforment les corps en énergies de la « dépense ».” Texte écrit par Derek Woolfenden

Killian Bouthemy

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The Action

2012 • Court-métrage de David Matarasso

Synopsis : “Film expérimental à partir de bandes annonces de films pornos et d’action découpées. The Action se compose donc d’éclats, de fragments d’images s’incrustant les uns dans les autres. Il s’agit non seulement du plus grand film de « found-footage » jamais fait à ce jour, mais également une proposition visuelle des mythologies américaines à travers des motifs et des textures d’images. Enfin, The Action s’impose comme le chant du cygne des films faits en pellicule et dont les déchirures, les collures et les rayures évoquent les vieux films abîmés des salles de quartiers parisiennes (révolues aujourd’hui) qui projetaient principalement des films d’action ou pornos en tout genres (dont les films Grindhouse de Rodriguez et Tarantino ont récemment rendu hommage). Ce qui constitue l’ambiguïté du film de David Matarasso repose à la fois sur une critique d’un cinéma d’exploitation et industriel toujours existant et, paradoxalement, une homélie de la présence « physique » de corps sexués dans ces mêmes films auxquels répondent un travail acharné, passionné et tactile de son auteur sur la pellicule : la pellicule du film devient puissamment organique et s’apparente à une charpente, puis à une mosaïque et enfin à de la pure orfèvrerie. Ces images renvoient aussi bien à une critique sociale et politique qu’à une réflexion du cinéma de genre ; elles s’interpénètrent, s’imbriquent, s’excluent, se fondent pour épuiser toute la dynamique formelle d’une photogénie puissante parce qu’industrielle qui transforment les corps en énergies de la « dépense ».” Texte écrit par Derek Woolfenden

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Les meilleurs films du cinéma expérimental

The Action

2012 • Court-métrage de David Matarasso

Synopsis : “Film expérimental à partir de bandes annonces de films pornos et d’action découpées. The Action se compose donc d’éclats, de fragments d’images s’incrustant les uns dans les autres. Il s’agit non seulement du plus grand film de « found-footage » jamais fait à ce jour, mais également une proposition visuelle des mythologies américaines à travers des motifs et des textures d’images. Enfin, The Action s’impose comme le chant du cygne des films faits en pellicule et dont les déchirures, les collures et les rayures évoquent les vieux films abîmés des salles de quartiers parisiennes (révolues aujourd’hui) qui projetaient principalement des films d’action ou pornos en tout genres (dont les films Grindhouse de Rodriguez et Tarantino ont récemment rendu hommage). Ce qui constitue l’ambiguïté du film de David Matarasso repose à la fois sur une critique d’un cinéma d’exploitation et industriel toujours existant et, paradoxalement, une homélie de la présence « physique » de corps sexués dans ces mêmes films auxquels répondent un travail acharné, passionné et tactile de son auteur sur la pellicule : la pellicule du film devient puissamment organique et s’apparente à une charpente, puis à une mosaïque et enfin à de la pure orfèvrerie. Ces images renvoient aussi bien à une critique sociale et politique qu’à une réflexion du cinéma de genre ; elles s’interpénètrent, s’imbriquent, s’excluent, se fondent pour épuiser toute la dynamique formelle d’une photogénie puissante parce qu’industrielle qui transforment les corps en énergies de la « dépense ».” Texte écrit par Derek Woolfenden

Julllll

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Films 2021

The Action

2012 • Court-métrage de David Matarasso

Synopsis : “Film expérimental à partir de bandes annonces de films pornos et d’action découpées. The Action se compose donc d’éclats, de fragments d’images s’incrustant les uns dans les autres. Il s’agit non seulement du plus grand film de « found-footage » jamais fait à ce jour, mais également une proposition visuelle des mythologies américaines à travers des motifs et des textures d’images. Enfin, The Action s’impose comme le chant du cygne des films faits en pellicule et dont les déchirures, les collures et les rayures évoquent les vieux films abîmés des salles de quartiers parisiennes (révolues aujourd’hui) qui projetaient principalement des films d’action ou pornos en tout genres (dont les films Grindhouse de Rodriguez et Tarantino ont récemment rendu hommage). Ce qui constitue l’ambiguïté du film de David Matarasso repose à la fois sur une critique d’un cinéma d’exploitation et industriel toujours existant et, paradoxalement, une homélie de la présence « physique » de corps sexués dans ces mêmes films auxquels répondent un travail acharné, passionné et tactile de son auteur sur la pellicule : la pellicule du film devient puissamment organique et s’apparente à une charpente, puis à une mosaïque et enfin à de la pure orfèvrerie. Ces images renvoient aussi bien à une critique sociale et politique qu’à une réflexion du cinéma de genre ; elles s’interpénètrent, s’imbriquent, s’excluent, se fondent pour épuiser toute la dynamique formelle d’une photogénie puissante parce qu’industrielle qui transforment les corps en énergies de la « dépense ».” Texte écrit par Derek Woolfenden

theotime17

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The Action

2012 • Court-métrage de David Matarasso

Synopsis : “Film expérimental à partir de bandes annonces de films pornos et d’action découpées. The Action se compose donc d’éclats, de fragments d’images s’incrustant les uns dans les autres. Il s’agit non seulement du plus grand film de « found-footage » jamais fait à ce jour, mais également une proposition visuelle des mythologies américaines à travers des motifs et des textures d’images. Enfin, The Action s’impose comme le chant du cygne des films faits en pellicule et dont les déchirures, les collures et les rayures évoquent les vieux films abîmés des salles de quartiers parisiennes (révolues aujourd’hui) qui projetaient principalement des films d’action ou pornos en tout genres (dont les films Grindhouse de Rodriguez et Tarantino ont récemment rendu hommage). Ce qui constitue l’ambiguïté du film de David Matarasso repose à la fois sur une critique d’un cinéma d’exploitation et industriel toujours existant et, paradoxalement, une homélie de la présence « physique » de corps sexués dans ces mêmes films auxquels répondent un travail acharné, passionné et tactile de son auteur sur la pellicule : la pellicule du film devient puissamment organique et s’apparente à une charpente, puis à une mosaïque et enfin à de la pure orfèvrerie. Ces images renvoient aussi bien à une critique sociale et politique qu’à une réflexion du cinéma de genre ; elles s’interpénètrent, s’imbriquent, s’excluent, se fondent pour épuiser toute la dynamique formelle d’une photogénie puissante parce qu’industrielle qui transforment les corps en énergies de la « dépense ».” Texte écrit par Derek Woolfenden

eximiil

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2012 • Court-métrage de David Matarasso

Synopsis : “Film expérimental à partir de bandes annonces de films pornos et d’action découpées. The Action se compose donc d’éclats, de fragments d’images s’incrustant les uns dans les autres. Il s’agit non seulement du plus grand film de « found-footage » jamais fait à ce jour, mais également une proposition visuelle des mythologies américaines à travers des motifs et des textures d’images. Enfin, The Action s’impose comme le chant du cygne des films faits en pellicule et dont les déchirures, les collures et les rayures évoquent les vieux films abîmés des salles de quartiers parisiennes (révolues aujourd’hui) qui projetaient principalement des films d’action ou pornos en tout genres (dont les films Grindhouse de Rodriguez et Tarantino ont récemment rendu hommage). Ce qui constitue l’ambiguïté du film de David Matarasso repose à la fois sur une critique d’un cinéma d’exploitation et industriel toujours existant et, paradoxalement, une homélie de la présence « physique » de corps sexués dans ces mêmes films auxquels répondent un travail acharné, passionné et tactile de son auteur sur la pellicule : la pellicule du film devient puissamment organique et s’apparente à une charpente, puis à une mosaïque et enfin à de la pure orfèvrerie. Ces images renvoient aussi bien à une critique sociale et politique qu’à une réflexion du cinéma de genre ; elles s’interpénètrent, s’imbriquent, s’excluent, se fondent pour épuiser toute la dynamique formelle d’une photogénie puissante parce qu’industrielle qui transforment les corps en énergies de la « dépense ».” Texte écrit par Derek Woolfenden

JM2LA

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The Action

2012 • Court-métrage de David Matarasso

Synopsis : “Film expérimental à partir de bandes annonces de films pornos et d’action découpées. The Action se compose donc d’éclats, de fragments d’images s’incrustant les uns dans les autres. Il s’agit non seulement du plus grand film de « found-footage » jamais fait à ce jour, mais également une proposition visuelle des mythologies américaines à travers des motifs et des textures d’images. Enfin, The Action s’impose comme le chant du cygne des films faits en pellicule et dont les déchirures, les collures et les rayures évoquent les vieux films abîmés des salles de quartiers parisiennes (révolues aujourd’hui) qui projetaient principalement des films d’action ou pornos en tout genres (dont les films Grindhouse de Rodriguez et Tarantino ont récemment rendu hommage). Ce qui constitue l’ambiguïté du film de David Matarasso repose à la fois sur une critique d’un cinéma d’exploitation et industriel toujours existant et, paradoxalement, une homélie de la présence « physique » de corps sexués dans ces mêmes films auxquels répondent un travail acharné, passionné et tactile de son auteur sur la pellicule : la pellicule du film devient puissamment organique et s’apparente à une charpente, puis à une mosaïque et enfin à de la pure orfèvrerie. Ces images renvoient aussi bien à une critique sociale et politique qu’à une réflexion du cinéma de genre ; elles s’interpénètrent, s’imbriquent, s’excluent, se fondent pour épuiser toute la dynamique formelle d’une photogénie puissante parce qu’industrielle qui transforment les corps en énergies de la « dépense ».” Texte écrit par Derek Woolfenden

P_A_N

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The Action

2012 • Court-métrage de David Matarasso

Synopsis : “Film expérimental à partir de bandes annonces de films pornos et d’action découpées. The Action se compose donc d’éclats, de fragments d’images s’incrustant les uns dans les autres. Il s’agit non seulement du plus grand film de « found-footage » jamais fait à ce jour, mais également une proposition visuelle des mythologies américaines à travers des motifs et des textures d’images. Enfin, The Action s’impose comme le chant du cygne des films faits en pellicule et dont les déchirures, les collures et les rayures évoquent les vieux films abîmés des salles de quartiers parisiennes (révolues aujourd’hui) qui projetaient principalement des films d’action ou pornos en tout genres (dont les films Grindhouse de Rodriguez et Tarantino ont récemment rendu hommage). Ce qui constitue l’ambiguïté du film de David Matarasso repose à la fois sur une critique d’un cinéma d’exploitation et industriel toujours existant et, paradoxalement, une homélie de la présence « physique » de corps sexués dans ces mêmes films auxquels répondent un travail acharné, passionné et tactile de son auteur sur la pellicule : la pellicule du film devient puissamment organique et s’apparente à une charpente, puis à une mosaïque et enfin à de la pure orfèvrerie. Ces images renvoient aussi bien à une critique sociale et politique qu’à une réflexion du cinéma de genre ; elles s’interpénètrent, s’imbriquent, s’excluent, se fondent pour épuiser toute la dynamique formelle d’une photogénie puissante parce qu’industrielle qui transforment les corps en énergies de la « dépense ».” Texte écrit par Derek Woolfenden

MisterHug

a attribué 10/10 au film

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2012 • Court-métrage de David Matarasso

Synopsis : “Film expérimental à partir de bandes annonces de films pornos et d’action découpées. The Action se compose donc d’éclats, de fragments d’images s’incrustant les uns dans les autres. Il s’agit non seulement du plus grand film de « found-footage » jamais fait à ce jour, mais également une proposition visuelle des mythologies américaines à travers des motifs et des textures d’images. Enfin, The Action s’impose comme le chant du cygne des films faits en pellicule et dont les déchirures, les collures et les rayures évoquent les vieux films abîmés des salles de quartiers parisiennes (révolues aujourd’hui) qui projetaient principalement des films d’action ou pornos en tout genres (dont les films Grindhouse de Rodriguez et Tarantino ont récemment rendu hommage). Ce qui constitue l’ambiguïté du film de David Matarasso repose à la fois sur une critique d’un cinéma d’exploitation et industriel toujours existant et, paradoxalement, une homélie de la présence « physique » de corps sexués dans ces mêmes films auxquels répondent un travail acharné, passionné et tactile de son auteur sur la pellicule : la pellicule du film devient puissamment organique et s’apparente à une charpente, puis à une mosaïque et enfin à de la pure orfèvrerie. Ces images renvoient aussi bien à une critique sociale et politique qu’à une réflexion du cinéma de genre ; elles s’interpénètrent, s’imbriquent, s’excluent, se fondent pour épuiser toute la dynamique formelle d’une photogénie puissante parce qu’industrielle qui transforment les corps en énergies de la « dépense ».” Texte écrit par Derek Woolfenden

Valyrien

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I saw a film today, oh boy (2021)

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2012 • Court-métrage de David Matarasso

Synopsis : “Film expérimental à partir de bandes annonces de films pornos et d’action découpées. The Action se compose donc d’éclats, de fragments d’images s’incrustant les uns dans les autres. Il s’agit non seulement du plus grand film de « found-footage » jamais fait à ce jour, mais également une proposition visuelle des mythologies américaines à travers des motifs et des textures d’images. Enfin, The Action s’impose comme le chant du cygne des films faits en pellicule et dont les déchirures, les collures et les rayures évoquent les vieux films abîmés des salles de quartiers parisiennes (révolues aujourd’hui) qui projetaient principalement des films d’action ou pornos en tout genres (dont les films Grindhouse de Rodriguez et Tarantino ont récemment rendu hommage). Ce qui constitue l’ambiguïté du film de David Matarasso repose à la fois sur une critique d’un cinéma d’exploitation et industriel toujours existant et, paradoxalement, une homélie de la présence « physique » de corps sexués dans ces mêmes films auxquels répondent un travail acharné, passionné et tactile de son auteur sur la pellicule : la pellicule du film devient puissamment organique et s’apparente à une charpente, puis à une mosaïque et enfin à de la pure orfèvrerie. Ces images renvoient aussi bien à une critique sociale et politique qu’à une réflexion du cinéma de genre ; elles s’interpénètrent, s’imbriquent, s’excluent, se fondent pour épuiser toute la dynamique formelle d’une photogénie puissante parce qu’industrielle qui transforment les corps en énergies de la « dépense ».” Texte écrit par Derek Woolfenden

blacktide

a attribué 7/10 au film

The Action

2012 • Court-métrage de David Matarasso

Synopsis : “Film expérimental à partir de bandes annonces de films pornos et d’action découpées. The Action se compose donc d’éclats, de fragments d’images s’incrustant les uns dans les autres. Il s’agit non seulement du plus grand film de « found-footage » jamais fait à ce jour, mais également une proposition visuelle des mythologies américaines à travers des motifs et des textures d’images. Enfin, The Action s’impose comme le chant du cygne des films faits en pellicule et dont les déchirures, les collures et les rayures évoquent les vieux films abîmés des salles de quartiers parisiennes (révolues aujourd’hui) qui projetaient principalement des films d’action ou pornos en tout genres (dont les films Grindhouse de Rodriguez et Tarantino ont récemment rendu hommage). Ce qui constitue l’ambiguïté du film de David Matarasso repose à la fois sur une critique d’un cinéma d’exploitation et industriel toujours existant et, paradoxalement, une homélie de la présence « physique » de corps sexués dans ces mêmes films auxquels répondent un travail acharné, passionné et tactile de son auteur sur la pellicule : la pellicule du film devient puissamment organique et s’apparente à une charpente, puis à une mosaïque et enfin à de la pure orfèvrerie. Ces images renvoient aussi bien à une critique sociale et politique qu’à une réflexion du cinéma de genre ; elles s’interpénètrent, s’imbriquent, s’excluent, se fondent pour épuiser toute la dynamique formelle d’une photogénie puissante parce qu’industrielle qui transforment les corps en énergies de la « dépense ».” Texte écrit par Derek Woolfenden

Manco

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Vidi Video Videbo

The Action

2012 • Court-métrage de David Matarasso

Synopsis : “Film expérimental à partir de bandes annonces de films pornos et d’action découpées. The Action se compose donc d’éclats, de fragments d’images s’incrustant les uns dans les autres. Il s’agit non seulement du plus grand film de « found-footage » jamais fait à ce jour, mais également une proposition visuelle des mythologies américaines à travers des motifs et des textures d’images. Enfin, The Action s’impose comme le chant du cygne des films faits en pellicule et dont les déchirures, les collures et les rayures évoquent les vieux films abîmés des salles de quartiers parisiennes (révolues aujourd’hui) qui projetaient principalement des films d’action ou pornos en tout genres (dont les films Grindhouse de Rodriguez et Tarantino ont récemment rendu hommage). Ce qui constitue l’ambiguïté du film de David Matarasso repose à la fois sur une critique d’un cinéma d’exploitation et industriel toujours existant et, paradoxalement, une homélie de la présence « physique » de corps sexués dans ces mêmes films auxquels répondent un travail acharné, passionné et tactile de son auteur sur la pellicule : la pellicule du film devient puissamment organique et s’apparente à une charpente, puis à une mosaïque et enfin à de la pure orfèvrerie. Ces images renvoient aussi bien à une critique sociale et politique qu’à une réflexion du cinéma de genre ; elles s’interpénètrent, s’imbriquent, s’excluent, se fondent pour épuiser toute la dynamique formelle d’une photogénie puissante parce qu’industrielle qui transforment les corps en énergies de la « dépense ».” Texte écrit par Derek Woolfenden

Overlook Hotel Master

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2012 • Court-métrage de David Matarasso

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Charly-z

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