C’est quand on pense tout connaître des gens et de la vie qu’on est enfin surpris.
Il ne suffit pas de penser qu’en connaissant 20, 50 ou 100 personnes on connaît tout le monde. Surtout pas dans des cultures différentes, et pourtant si proches de nous.
Sur son balcon à Varsovie, Pawel Lozinski peint la beauté intérieure des passants. C’est lorsque j’ai pensé ne connaître les passants que superficiellement que j’ai commencé à être surpris.
C’est intéressant d’être remis en question. Le film pose des questions très simples et pourtant qui amènent à tant de sincérité.
Certaines fois on pense mieux connaître quelqu’un en lui posant des questions préparées, intéressantes et méthodiques. Pourtant, les questions les plus simples amènent aux plus réponses les plus sincères.
Nous ne voyons que des instants de deux années pourtant elles en disent tant sur notre évolution.