Ce film m'a laissé sur ma faim

Résumé

Un jeune couple sans problème, Norma (Cameron Diaz) et Arthur Lewis (James Marsden), parents d'un garçonnet d'une 12e d'années, Walter (Sam Oz Stone), vivent dans un quartier pavillonnaire de Richmond (Virginie). Norma est professeur de littérature, Arthur est ingénieur et travaille sur un programme pour la NASA.
Un matin, à l'aube, ils sont réveillés par un coup de sonnette et trouvent, devant leur porte, un colis contenant une boîte noire surmontée d'un bouton-poussoir rouge et une carte de visite leur annonçant la visite, le lendemain à 17 H, d'un certain Arlington Steward qu'ils ne connaissent pas.
Le lendemain, à l'heure dite, un homme d'un certain âge, la partie gauche du visage défigurée, se présente au domicile des époux Lewis en l'absence d'Arthur. Il annonce tranquillement à Norma que, s'ils appuient sur le bouton de la boîte noire une personne qu'ils ne connaissent pas mourra et, qu'en contrepartie, il leur remettra la somme d'un million de dollars.
Le soir, Norma et Arthur se demandent s'il s'agit d'une mauvaise blague ou si la proposition de l'inconnu est sérieuse. Dans les heures qui suivent, Norma apprend qu'elle ne pourra plus bénéficier de frais réduits pour la scolarité de leur fils et Arthur se voit refuser l'importante promotion sur laquelle il comptait.
Devant la tentation que représente la proposition de l'inconnu, en partie par défi, en partie par jeu, Norma appuie sur le bouton. Le lendemain, Arlington Steward se présente avec une mallette contenant un million de dollars.
A partir de là, les événements s'enchaînent, de plus en plus bizarres, de plus en plus graves, jusqu'à ce que Walter soit enlevé et rendu aveugle et sourd. Pour le sauver, Norma, qui est responsable d'avoir appuyé sur le bouton en premier, doit se sacrifier et Arthur lui tire une balle dans le cœur.

Mon opinion sur ce film

J'aime la science-fiction et le fantastique mais ce film m'a laissé sur ma faim, avec une sensation d'inachevé. Dommage car tous les ingrédients étaient réunis pour faire un bon film. Mais tout le monde n'est pas Christopher Nolan ou Andrew Niccol. On n'y croit pas une minute.