Un récit tout à fait invraisemblable, mais qui ose se donner des airs de film historique, pour nous servir une vision odieusement manichéenne de la Guerre Froide, réduite en pratique à la crise des missiles de Cuba.
Pour résumer, les gentils Américains défenseurs de la Liberté, sont plus intelligents que les méchants Russes, qui sont vraiment très méchants (quand ce ne sont pas de simples benêts).
C'est ainsi qu'ils parviennent à gagner la grande partie d'échecs où se joue l'avenir du monde.
Sinon les Polonais sont des gens très accueillants (n'oubliez pas vos papiers cependant).
On profite de l'épilogue pour glisser un dernier tacle aux Russes et on clôture sur une citation de Reagan himself.
Merci pour cette fine analyse des relations internationales.
[Edit : alors oui, sous le coup d'une envie pressante, cette critique est comme un jet de pisse sur les pompes de l'inspiration, mais pourquoi se forcer pour un pigeon qui chie sur l'échiquier ?]
Allez, parce que c'est d'actualité : Les mensonges d’« Apocalypse »