The frustration Mother

Des acteurs fatigués, un thème très visité (alcoolisme) et une narration soporifique, et lorsque l'on est au bord du désespoir tellement on s'ennuie, des rebondissements invraisemblables surgissent. Le scénario s'efforce d'être d'actualité, insérant trop d'éléments à la fois dans cette triste histoire dans un effort de pertinence qui ne résonne jamais vraiment. Cela ne fait que détourner l’attention de ce qui devrait être le thème central du film : les deux mères qui ont été abandonnées à la suite de la destruction provoquée par les opioïdes et la violence armée. "The Good Mother" veut nous montrer les effets de ces deux épidémies sur les familles américaines, mais sans succès.

Ce film fait preuve d'une grande créativité pour nous frustrer, mais d'une façon intense à chaque chapitre du film. Et bien sûr, Hilary Swank, qui tombe bien bas avec un jeu d'acteur fatigué et monotone, sûrement mal dirigé par le réalisateur, sachant le potentiel de l'actrice.

Destruction et rédemption : De nombreux films américains ont suivi des personnages en proie à l'alcoolisme, mettant en évidence leurs luttes pour surmonter leur dépendance et trouver la rédemption sauf que dans ce film l'histoire se detourne vers le tabac et l'obsession de la mere autour de sa cigarette qu'elle fume sans l'allumer . ce qui nous plonge dans la confusion .

un vrai film raté au niveau de la narration, l'image et la mise en scene sont correct. mais ca reste une grosse perte de temp, l'atmosphere et le rythme du film ne cache pas ses ambitions de thriller sans vraiment reussir a nous captiver, au contraire de i came by et I See You.