The lesson fascine par son manichéisme. Durant tout le film, la distribution des actions entre les personnages est binaire. Ainsi, les bonnes actions sont exclusivement féminines alors que les mauvais comportements n’ont pour auteurs que des membres du genre masculin ! Ce constat vaut pour les adultes mais également pour la classe d’écoliers mise en scène.
Il est étonnant que le duo de réalisateurs composé de Kristina Grozeva et Petar Valchanov n’ait pas su faire preuve de plus de discernement. Certes l’ultime mauvaise action du film sera à conjuguer au féminin mais elle ne prêtera pas aux conséquences attendues puisque « justifiée » pour contrecarrer un plan diabolique… masculin ! Lire la critique complète.