The Lion Woman par Ygor Parizel

Un drame nordique, norvégien prenant très souvent l'apparence d'un conte moderne. Il s'agit de l'histoire fictive d'une enfant atteinte d'hypertrychose, c'est-à-dire que son corps est entièrement couvert de poils au début du XXème siècle dans un village reculé de Scandinavie. Comme dit plus haut, ce film a souvent l'allure d'un conte, la petite gare ou vît la petite Eva semble tout droit sortie d'un dessin animé de chez Disney puis le parcours de cette gamine est certes jonché d'embûches mais le scénario n'y fait qu'assez peu attention pour se concentrer sur un cercle intime autour de celle-ci, d'abord dans le rejet notamment de la part de son père mais ensuite dans l'amour car la petite est très touchante et rêveuse. La mise en scène est fort classique, sans grande surprise, la réalisatrice misant surtout sur son ambiance, sa reconstitution et sur son sujet.