Une maman se prend le chou avec son fils qui la lui plantera comme un...chou.
Liste de remarques terreuses spoîleuses sans cheminement, mais publiées la 1e fois que le 02/08/21, gardées en brouillon très très honteux avant:
"Au départ, l’homme n’avait pas grand-chose pour lui : un physique passe-partout, un accent de bouseux galiléen, et surtout il venait de Nazareth, le trou du cul du monde"
(Éric-Emmanuel Schmitt, L’Évangile selon Pilate)
Le Grand Bluff:
Résumé: une femme découvre une sorte d'anus géant entouré d'arbre poils d'où sortent des vers blancs qui échangent son fils avec un sosie un peu comme en 1992, Patrick Sébastien se déguisait et piégeait des animateurs.
Le trou du cul du monde= Lieu perdu au milieu de nulle part.
Faire l'autruche=Se mettre la tête dans le sable.
Je spoile ce film probablement scatophile.
Dans la vie, parfois, les enfants nous 'prennent la tête'. Dans ce film c'est assez littéral.
Ils nous prennent le chou comme dit la chanson:
"Savez-vous planter les choux ? Savez-vous planter les choux ?
A la mode, à la mode,
Savez-vous planter les choux ?
A la mode de chez nous.
Chez nous, on les plante pas avec le doigt, le pied, la main ou le coude,
On les plante qu'avec le nez.
À la mode, à la mode,
On les plante qu'avec le nez.
À la mode de chez nous". (merci dessinemoiunehistoire)
J'ai juste aimé le plan de l'enfant courant à l'horizon avec sa mère lui courant après, avec une longue trace blanche d'avion au dessus d'eux dans le ciel.
C'est une idée fausse que les autruches se cachent la tête dans le sol lorsqu’elles ont peur, ce qui est faux, "l'animal se couchant uniquement sur le sol pour se cacher entièrement". (merci wiki)
"Ton corps change, ce n'est pas sale". (merci Doc&Difool)
Trou perdu...
Résumé SC: Une mère et son fils viennent d'emménager dans une nouvelle maison près des bois. Au cours d'une balade en forêt, le fils disparaît un petit moment. La mère parvient à remettre la main sur lui et découvre, en même temps, un énorme gouffre au coeur du bois. Quelques temps après, elle remarque que son petit garçon a un comportement étrange. Est-ce bien son fils qui est revenu vers elle ?
On pourrait dire aussi que c'est un mère en déni que son fils n'est plus un bébé, un enfant mais va devenir un ado dont le corps et intérêts changent.
Ou/et qu'il n'est pas un bonne personne voire une "merde" (sic), littéralement?
Elle répète sans cesse
"You're not my son". Tu n'es pas mon fils.
ce qui rappelle Angelina Jolie en 2008 dans justement 'L'échange' de Clint Eastwood ('Changeling')
La tapisserie rappelle la moquette (et tapisserie) des décors de 'Shining'.
Germinal... la vie des mineurs …on vient déranger le lieux de repos et la cachette des alien de la série de films, 'Invasion des profanateurs':
"Magic mirror on the wall, who is the fairest one of all?"
Les créatures rappellent celle de 'The Descent' qui ont la capacité de vous copier et remplacer comme dans 'Invasion des profanateurs/Bodysnatchers: ils te touchent et tu vois alors ton double comme dans un miroir...
Ces taupes aveugles humanoïdes à l'ADN pas défini, en confinement sous terre ont besoin aussi d'un contact pour devenir humain.
Elles ressemblent aussi à des racines de gingembre qui ont justement parfois apparences humaines.
Germ-anal dans le trou du cul du monde littéralement.
Ce trou que trouve la mère ressemble à l'anus palpitant de la terre dans lequel vivent des vers blancs. Le film ayant d'ailleurs 1 heure avant, au début, une conversation en voiture entre la mère et le fils autour de "assface" et "anusface".
Des vers polluent d'ailleurs déjà nos enfants: l'Oxyurose est une "affection bénigne et très fréquente, survenant surtout chez l'enfant", ce film en est juste une version plus exagérée.