Even cows get the blues.
A l’ombre du grand et beau cerisier qu’est le cinéma d’animation japonaise, mondialement célèbre et célébré, pousse – timide mais résolu - un autre arbre qui lui semble à la fois semblable et bien...
le 11 mai 2016
Le gros avantage des festival, c'est de découvrir des film invisible sur notre territoire. C'est le cas avec ce film, présenté dans le cadre de Travelling Seoul. Attiré par le pitch de départ et une bande annonce dejanté, je suis aller voir ce film par curiosité. Et de curiosité ce film en regorge. Entre cette histoire d'humain transformé en animaux, de ce satellite qui devient une fille, et de tout un tas d'étrangeté assez bordélique. Mais c'est à cause de ce bordel que le film ne convainc pas vraiment. A part la romance qui est plutôt bien mené, le film n'assume ni ne pousse jamais vraiment ses délires. De ce fait, on en vient à se dire que si le film avait été japonais, il aurait été plus symathique.
Au final, on s'ennui un peu malgré la courte durée de 80 minutes et on a du mal à etre charmé par ce film certes attachant mais pas assez abouti pour convaincre.
Créée
le 10 févr. 2016
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