Trahison à Stockholm est sympa à mater mais c'est franchement sans plus, on pourrait penser à du James Bond mais on dirait un épisode du Saint (série avec Roger Moore) durant trop long à regarder.
Ca commence à Stockholm, puis Zurich et ça finit à Londres, on suit un pilote de course (Ken Clark que l'on a pu voir dans plusieurs films de ce genre) mêlé à une histoire d'espionnage car c'est un dragueur et en voulant séduire la mignonne Beba Loncar il plonge dans une magouille très dangereuse pour l'équilibre de notre monde...enfin celui des années 60.
C'est plutôt sympa à regarder et le réalisateur n'est pas tombé dans le nanar, malgré tout c'est limite surtout la dernière demi-heure qui amuse moins, sinon il y a parfois une pointe d'humour par-ci par-là.
Cela a pris un coup de vieux mais ce type de cinéma à un certain charme même si je préfère Le Secret du rapport Quiller ou Mes funérailles à Berlin qui sont assez similaires mais plus aboutis.