1h 15 de film, un coursier qui vit solo chez lui et qui évolue dans un monde où ses seuls échanges sont avec les personnes qu'ils livrent mais aussi avec son colocataire. Bref, regardez-le en accéléré, vous n'allez sûrement rien perdre de ce film tant il ne se passe strictement rien. D'ailleurs, l'objectif du film est totalement absent, il n'a même pas de genre particulier, c'est même pas un minimum visuel ou encore s'il y existait un parti-pris textuel ou de mise en scène.
Avec Très Belle Journée, le cinéma québécois s'enfonce toujours dans des films sans queue ni tête pour nous la jouer film d'auteur...